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Certains partenaires, certaines histoires sont à fuir. On le sent dès le début : cette relation sera compliquée, invivable, destructrice. À moins qu’elle ne soit à durée déterminée : homme marié, femme amoureuse (encore et pour toujours ?) de son ex-grand amour, problème de longueur d’ondes – l’un veut des bébés, l’autre pas. Ils cherchent l’aventure, nous la sécurité. Lui, c’est pour le sexe et elle pour l’amour... Malgré tous ces signes de mauvais augure, on s’accroche en pensant que l’amour peut tout, qu’il ou elle finira par changer et par nous aimer comme nous voulons être aimé. Attention, blessure d’enfance à l’horizon. Parfois nous rejouons dans nos amours présentes des paris bien anciens. Ces amours finissent mal, en général. Quelle souffrance dans la rupture mais quelle souffrance avant aussi.Lire la suite
On a l'habitude de dire que les torts sont partagés à 50/50. Faux ! Pour qu’un couple dure, il faut être deux. Or notre partenaire a quitté le navire. Était-ce prévisible ? Pas toujours. Et si oui, croyons-nous naïvement que l’amour peut tout ? Que si nous avions fait ceci ou cela, il ou elle serait resté ? Allons donc, cela supposerait que l’amour se maîtrise par des manœuvres. On disait autrefois d’une femme qui gardait son mari : « Elle le tient ! », mais en était-elle aimée ? N’était-ce pas au prix de sa soumission ? Alors, on rompait aussi mais... en faisant chambre à part, en se détestant courtoisement. La belle affaire ! Quant à « n’avoir pas fait ce qu’il fallait... », ce serait prétendre qu’il existe des couples parfaits ayant « tout bon ». Mais non, ils ont comme les autres des fâcheries, des moments de creux, de moindre amour. La différence est simplement qu’ils sont décidés à rester ensemble pour le meilleur et pour le pire. Comprendre ne consiste pas à se chercher des torts mais à décoder ce qui est arrivé...Lire la suite
Ceux qui désertent notre vie nous laissent « amputés ». Forcément, ils habitaient nos pensées, notre quotidien. Ils laissent un vide palpable. Là où ils étaient, ils ne sont plus. Ils deviennent les fantômes de notre lit, de notre quartier, des restaurants où nous avons dîné, de leur place à table, à côté de nous dans la voiture... On se sent accompagné par... le vide. « Tout parle et rien ne répond » disait joliment Carine. Nous sommes sans cesse confrontés au manque, au silence, à l’absence. Certains se lancent dans une hyperactivité qui les distrait. Dans un premier temps, s’étourdir est une bonne idée. Le pire est sans doute le repli sur soi car il favorise les fantasmes, les idées pessimistes, le sentiment de solitude. Forcez-vous à sortir, à vivre même si vous vous sentez « à côté » : cette rupture sera l’occasion de consolider des amitiés, d’en tisser de nouvelles et... d’en abandonner certaines qui ne vous font pas de bien.Lire la suite