Les news

Bienvenue sur notre espace "infos"

Troubles neurologiques liés à la consommation de coquillages: des intoxications au diagnostic encore peu connu

La consommation de coquillages bivalves (moules, huîtres...) peut être à l’origine de troubles neurologiques graves voire mortels, liés à l’accumulation dans la chair des mollusques de toxines naturelles dont les teneurs sont par ailleurs réglementées. En juin 2019, une intoxication spécifique liée à la consommation de moules contaminées par des toxines paralysantes a attiré l’attention de l’Anses et des Centres antipoison (CAP) sur une possible méconnaissance diagnostique des intoxications par des neuro-toxines marines. Une étude rétrospective des cas d’intoxication par des coquillages enregistrés par les CAP de 2012 à 2019, et des données de surveillance réglementaire des zones de production conchylicoles, a permis d’identifier 15 cas probables d’intoxication par des neurotoxines. Une surveillance prospective des intoxications par des coquillages à l’origine de signes neurologiques a depuis été mise en place à partir des données des CAP.Lire la suite Lire la suite

VOYAGER EN FRANCE : HUTTOPIA, UN MONDE GRANDEUR NATURE

2020 nous a privés de voyages lointains et 2021 est encore semé d’incertitudes. C’est plus que jamais l’occasion de partir à la découverte de la France, pas forcément loin de chez soi, pour vivre de nouvelles aventures.Lire la suite Lire la suite

Une signature cérébrale prédictive de la vulnérabilité aux addictions

Une équipe de neurobiologistes à l’Institut de neurosciences de la Timone (CNRS/Aix-Marseille Université) vient de montrer qu’elle pouvait prédire, au sein d’une population de rats, lesquels vont devenir « accros » à la cocaïne. Un des critères déterminant l’addiction chez le rat est la recherche compulsive d’une drogue malgré ses conséquences négatives. Les scientifiques ont ainsi observé une activité anormale dans une région spécifique du cerveau, le noyau subthalamique, uniquement chez les individus futurs « accros », et ce avant qu’ils ne soient exposés à une « punition » associée à la recherche de drogue. Ces résultats, qui viennent d’être publiés en ligne sur le site des PNAS, indiquent également qu’il est possible de réduire, chez le rat, ce comportement de recherche compulsive de cocaïne en stimulant le noyau subthalamique, confirmant son intérêt comme cible dans le traitement de l’addiction.Lire la suite Lire la suite

Pages