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La mère et le père, entre toute-puissance et absence

La condition féminine a vécu une révolution sans précédent à la fin du XX siècle en libérant les « femmes au foyer ». Ce déboulonnage a entraîné la remise en question de l’identité des femmes, essentiellement des mères, à la fois obligées et libres tout d’un coup de vivre d’autres facettes de leur personnalité. Les femmes ont commencé à se construire une identité moins limitée, et plus ouverte à leur créativité au sens large du mot. Cette identité se projette en pointillé vers l’avenir et se détache de l’ancienne voie des devoirs et des besoins des mères. Lire la suite Lire la suite

Mai 68 : le changement inévitable

La fin des années 60 fut marquée par une débâcle gigantesque des valeurs qui jusqu’alors avaient constitué les fondements de la société occidentale. Une déflagration fissura les façades rigides du « vieux monde ». Il y eut comme un élargissement de la conscience, une ouverture, un passage qui libéra une énergie nouvelle qui s’imposa avec force.Lire la suite Lire la suite

Condamné à trahir par de petits arrangements avec soi-même ?

Vivre, ce serait donc se trahir par nécessité et, parfois, malgré soi : il suffit d’observer une journée de notre existence pour constater que répondre aux différents engagements de notre quotidien nous condamne à être infidèles à nous-mêmes. Cet homme, investi professionnellement en tant que manager n’est plus le même, le soir venu, quand il s’adonne à la passion du chant lyrique. Quand il joue avec ses enfants et les accompagne dans leur scolarité, c’est encore un autre homme. « Je est un autre », disait le poète Rimbaud... Plusieurs facettes, donc, pour une seule identité, comme des pièces de puzzle à assembler pour que la silhouette se dessine. « J’ai, depuis la trahison de mon frère parti avec mon épouse, beaucoup réfléchi à la question : j’ai pardonné cet acte qui m’a brûlé le cœur pour pouvoir trouver l’apaisement ; j’ai aussi compris, bien plus tard, que vivre, c’est trahir en permanence, parce que tout évolue, y compris soi-même. » Nous constatons bien, tôt ou tard, l’éternel retour des choses... Nous serions donc engagés à nous maintenir en mouvement pour rester vivants, en évolution. La nature nous offre d’ailleurs une belle leçon : observer un arbre fruitier nous montre que les trahisons, qui passent par des étapes de mutations, sont une manière de célébrer la vie. Nous serions pourtant fidèles à nous-mêmes, par l’éternel retour des fleurs et des fruits, après être devenus, à chaque transformation, un peu morts pour nous- mêmes, afin de mieux renaître...Lire la suite Lire la suite

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