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Les systèmes de santé prennent généralement en charge les personnes souffrant de troubles psychiatriques graves, mais ils ne proposent presque rien en cas de forme légère ou modérée d’anxiété ou de dépression. Certes, ces deux affections sont décrites comme « moins préoccupantes » mais, pourtant, la souffrance éprouvée est rarement « légère » ou « modérée ». Les symptômes, souvent aigus, durent dans le temps et sont... effrayants. C’est pourquoi j’espère de tout cœur que cet article aidera ceux et celles qui ne savent plus à quel saint se vouer en leur redonnant de l’espoir.Lire la suite
Aujourd’hui encore, on rencontre des médecins « fibro-sceptiques », qui voient dans la fibromyalgie un trouble entièrement psychosomatique. Entendez : une maladie imaginaire. Car pour eux, les symptômes (à commencer par la douleur) doivent être objectivables par un certain nombre d’examens de contrôle pour être réels. Or, la fibromyalgie échappe souvent à ces critères. Prenez le cas d’une autre maladie très douloureuse : la polyarthrite rhumatoïde. Les douleurs sont alors liées à un état inflammatoire des articulations, lequel est clairement perceptible lorsque l’on dose les marqueurs inflammatoires sanguins. D’autres douleurs sont visibles sur les clichés radiographiques ou échographiques : usure des tissus en cas d’arthrose ; malposition des disques vertébraux en cas de hernie discale... Rien de tout cela n’apparaît en cas de fibromyalgie.Lire la suite
Ce « terrain psycho-émotionnel » ne suffit pas pour que la maladie se déclare. D’autres critères, plus physiques, se retrouvent fréquemment chez les patients, que ce soit avant l’apparition de la maladie (facteurs déclenchants) ou après qu’elle soit installée (facteurs d’amplification des symptômes).Lire la suite