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Quels sont les visages du stress ?

Définition pour le stress Sensation d’inconfort permanent, de malaise diffus, conséquence d’une pression ou d’un déséquilibre psycho- logique ou physique lié aux contraintes et astreintes de la vie moderne.Lire la suite Lire la suite

L’inflammation : mécanisme biologique de régulation des interactions avec le stress

• Le système de récompense Lorsque nous expérimentons un stress1, notre cerveau dispose d’un mécanisme d’adaptation, il est capable d’activer le système de récompense dépendant de la dopamine2. Cependant, avant de solliciter la récompense dopaminergique, des échanges intenses se mettent en place entre le cerveau préfrontal et l’axe limbique-hypothalamo-hypophyso-adrénergique (HHS ou L-HPA en an- glais3). Leur but est de générer une régulation homéostatique entre, d’une part, un raisonnement lent et réflexif et un comportement orienté vers une finalité précise, et, d’autre part, une forte poussée motivationnelle et de l’impulsivité. Ce dialogue entre les deux aspects de la personnalité de tout un chacun permet des choix comportementaux voués à calmer l’angoisse générée par le stress. De plus, cette distribution de rôles dans le Système Nerveux Central (SNC) va de pair avec les systèmes ortho et parasympathique du Système Nerveux Périphérique (SNP). Eux aussi réconcilient les deux personnalités centrales discordantes avec la spécialisation combat/fuite du système orthosympathique et la relaxation et la guérison (réparation) du système parasympathique déjà évoquées plus haut. Ces éléments, à l’œuvre en cas d’inflammation aiguë, interviennent également dans la gestion du stress.Lire la suite Lire la suite

L’inflammation : mécanisme biologique de régulation des interactions avec l’environnement

Tout un chacun a expérimenté une agression, un stress environnemental (extérieur), aboutissant à une lésion tangible qui active le système de réparation du corps et permet de restaurer l’équilibre. Cependant, il est important de noter que ces phénomènes sont à considérer de la même manière en cas de stress issu de l’imagi- naire de l’individu (intérieur), qu’il s’agisse d’une peur, d’un chagrin, d’une saute d’humeur, voire d’une colère. Ainsi, des causes bien différentes (« réelles », ou imaginaires) auront les mêmes ef- fets, ceux d’une réaction inflammatoire. Elle peut être considérée comme une « bonne inflammation » lorsqu’elle agit de façon ponctuelle et que tout rentre dans l’ordre assez rapidement, ou alors comme une « mauvaise inflammation » lorsqu’elle s’installe pour devenir chronique, parfois de façon silencieuse.Lire la suite Lire la suite

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