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Femmes : connaître leurs fantasmes pour mieux les comprendre

Interroger les fantasmes des femmes, c’est interroger ce qu’elles veulent, ce qu’elles aiment, ce à quoi elles rêvent, ce qui les inspire. Connaître leurs fantasmes, c’est peut-être comprendre, et savoir enfin, comment naît le désir de ces femmes, comment il surgit et comment il s’exprime. Un savoir que beaucoup d’hommes aimeraient posséder, et que beaucoup de femmes, qui se demandent ce qu’il en est de leur désir, aimeraient maîtriser.Lire la suite Lire la suite

Rêves de femmes : ce que vos fantasmes disent de vous

Des femmes viennent me voir, elles s’étendent sur mon divan et parlent. Je les écoute. Elles disent leurs doutes, leurs culpabilités, leurs envies – leurs peurs de ces envies –, leurs peurs des jouissances qu’elles éprouvent ou que leur corps réclame. Elles racontent leurs fantasmes, ou leur incapacité – croient-elles – à fantasmer. Elles s’interrogent : « Est-il normal d’avoir des rêves si violents, si obscènes ? Les autres sont-elles comme moi ? Ont-elles des pensées incongrues, inavouables ? Si violentes parfois ? Si peu morales... ? » Lire la suite Lire la suite

Sous-encadrement des formations universitaires : un début de réponse pour les STAPS qui doit encore se concrétiser et être renforcé !

Depuis 2017, le SNEP-FSU et le SNESUP-FSU alertent sur la situation très préoccupante des composantes STAPS. En juin dernier, les collègues de l’UFR STAPS de Rennes 2 annonçaient leur incapacité à organiser la rentrée de septembre en raison d’un sous-encadrement devenu impossible à contrebalancer par un engagement dépassant déjà largement les limites du supportable. A la suite, d’autres STAPS faisaient connaître leur situation également catastrophique au regard du taux d’encadrement et de l’état des équipements sportifs disponibles. Face à la pression publique exercée par la non rentrée à Rennes 2 et les différentes actions organisées depuis la rentrée 2021 : de la journée nationale des STAPS et du rassemblement devant l’assemblée nationale le 24 novembre, en passant par le « jeudi noir » du 13 octobre et les multiples actions locales dans les STAPS et devant les rectorats, la ministre a répondu par l’activation du dialogue de gestion stratégique (DGS) via les rectorats et universités (STAPS) pour faire remonter un chiffrage des besoins. A notre connaissance, les besoins exprimés par les STAPS se chiffrent à un total de près de 20 millions d’euros correspondant au financement des postes nécessaires pour remédier au sous-encadrement et accompagner l’augmentation des effectifs étudiants, à la rénovation de l’environnement et au renforcement des liens avec la recherche.. Lire la suite Lire la suite

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