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Les effets de l’acupuncture sans aiguille sont de deux ordres : Stimulation transcutanée favorisant la production d’endorphines et équilibre énergétique par l’action sur les méridiensLire la suite ![]()
Si le bonheur est la somme de tous les malheurs qui ne nous sont pas arrivés, la santé ne serait- elle pas la somme des maladies qui ne nous ont pas touchés ?Lire la suite ![]()
Le simple fait d’utiliser et donc de lire le terme de « maladie », provoque chez l’humain l’attente d’une proposition de médecine, pharmacologique ou chirurgicale. L’évocation de la maladie génère l’attente de la guérison. Et notre vision humaine de cette affaire nous projette dans le combat. « Guérir » est un mot qui puise son étymologie dans une racine commune à la langue germanique : warjan, par une racine indo-européenne swer-, sert- et wer-, qui signifie « faire attention ». Et guérir voulait d’abord dire défendre. La notion de combat est sans équivoque, et l’ennemi est désigné par le nom de microbe (bactérie, virus, champignon...). Tout comme dans warjan il y a « war » qui signifie guerre, dans guérir il y a, en sonorité, le même mot « guerre ». La médecine est bien une activité de lutte contre la maladie, et il n’y a aucun jugement à l’énoncé de cette réalité. Le fait est bien connu : pour une maladie d’origine bactérienne, il faut un antibiotique, substance qui combat certaines formes de vie. En fait, rares sont les médicaments de la pharmacopée qui ne sont pas des « anti- quelque chose ». Imaginons un instant que l’on ait donné le nom de probiotiques aux antibiotiques, et de « pro-quelque chose » à tous les « anti-quelque chose », qu’aurions-nous enclenché de différent dans l’inconscient collectif ? Qu’aurait donné au genre humain l’application des conseils de la philosophie orientale telle que nous la révèle le Yi King à travers ces mots : « plutôt que de lutter contre le mal, dirigez-vous énergiquement vers le bien... ».
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