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LA MALADIE SURVIENT ÉGALEMENT SI ON SUIT EXCLUSIVEMENT SES ÉMOTIONS

Comme le corps peut réprimer le système limbique pour pouvoir survivre au niveau émotionnel, l’inverse est également possible : le cerveau émotionnel a la capacité de désactiver le lobe frontal, la partie du néo-cortex qui est la plus développée chez l’homme. Dans le cas d’un stress très important, le lobe frontal ne réagit par exemple plus et votre comportement n’est plus rationnel, mais vos réflexes et vos instincts vont régir votre mode de vie. Tout cela a un rapport avec les lois de Darwin et la génétique. Dans des situations représentant une menace pour la vie, le système limbique, qui se concentre sur la survie, a la priorité sur la pensée cognitive. Chez nos prédécesseurs, ce système d’alarme revêtait une importance capitale, mais aujourd’hui, au vingt-et-unième siècle, ce réflexe de survie est encore extraordinairement utile dans la vie quotidienne. Toutefois, si nos émotions sont trop violentes, la déconnexion du cerveau cognitif peut être dangereuse, parce que nous perdons le contrôle de nos pensées et nous ne sommes plus en mesure de faire correspondre notre comportement à notre propre intérêt et nos objectifs à long terme. En d’autres termes : nous pouvons faire des choses stupides. Lire la suite Lire la suite

QUAND LA RAISON L’EMPORTE SUR LE COEUR, ON TOMBE MALADE

Lorsqu’une situation de vie « sur pilotage automatique » (dans le cadre de laquelle le système limbique est entièrement réprimé) dure trop longtemps, nous voyons que des perturbations font leur apparition dans une partie déterminée du système limbique (voir illustration). La déconnexion trop prolongée de vos émotions a pour conséquence qu’à la longue, vous perdez complètement le contact avec votre cerveau émo- tionnel. Une « répression aussi extrême et prolongée » peut avoir des conséquences importantes sur la santé.Lire la suite Lire la suite

LE CERVEAU ÉMOTIONNEL ET LE CERVEAU INTELLECTUEL : DEUX CERVEAUX

Je me rappelle encore clairement du jardinier que mes parents avaient engagé lorsque j’étais enfant pour donner un coup de main afin de tondre la pelouse, tailler les buissons d’ornement et les arbres fruitiers et arracher les mauvaises herbes près des rosiers qui faisaient la fierté de ma mère. Nous habitions dans une maison qui avait été jadis une partie de la ferme de mes grands-parents. Elle était située au milieu des champs, en pleine nature, et notre jardin était tellement énorme qu’il était impossible pour mes parents de l’entretenir eux-mêmes.Lire la suite Lire la suite

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