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Au moment où le ministre de l'éducation nationale a engagé la refonte des études secondaires des lycées et collèges, l'Académie nationale de médecine tient à rappeler l'importance de préserver dans les programmes d'enseignement les Sciences de la vie et de la Terre et insiste sur la place qu'il faut leur accorder dans les parcours scolaires.Lire la suite
Si le burn-out maternel se doit d’être reconnu à sa juste importance, c’est bien sûr parce qu’il a des conséquences potentiellement graves sur la mère, mais aussi parce qu’il se répercute sur l’enfant et sur leur relation à tous les deux. Le mal-être maternel permanent a logiquement une incidence sur l’enfant qui tente alors de se débattre et de résister. Plus l’enfant sent que sa mère est indisponible et dans l’évitement, plus il réclame qu’elle s’occupe de lui. Il en fait des tonnes, se montre agité, exigeant, car en fait il n’a qu’un seul but : la sortir de sa léthargie. Mais ce e attitude épuise encore un peu plus la mère, qui rejette alors la faute sur l’enfant, qu’elle juge « difficile ». Ce qui entre- tient un cercle vicieux.Lire la suite
Le terme de « burn-out » est utilisé pour la première fois en psychologie dans les années 1970 pour désigner la conséquence d’un stress chronique au travail. Le premier à l’employer et à le décrire est le psychologue et psychothérapeute américain Herbert Freudenberger (1926-1999). « Je me suis rendu compte que les gens sont parfois victimes d’incendie, tout comme les immeubles. Sous la tension produite par la vie dans notre monde complexe, leurs ressources internes en viennent à se consumer comme sous l’action des flammes, ne laissant qu’un vide immense à l’intérieur, même si l’enveloppe externe semble plus ou moins intacte », écrit-il dans L’Épuisement professionnel : la brûlure interne (traduction littérale du mot anglais burn-out), en 1980. Depuis, d’autres définitions sont venues compléter son approche.Lire la suite