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En mai 2020, l’Organisation mondiale de la santé mettait en place l’outil C-TAP (Covid-19 Technology Access Pool) pour partager les connaissances et accélérer la production des outils de diagnostic, des traitements et des vaccins pendant la pandémie de la Covid-19. À l’heure actuelle, aucune contribution des industriels n’a été enregistrée. Un chercheur de l’Université Clermont Auvergne, au Centre d’études et de recherches sur le développement international (CNRS / IRD / Université Clermont Auvergne), et ses collaborateurs d’emlyon business school, au Groupe d'analyse et de théorie économique Lyon - Saint Etienne (Université Jean Monnet / CNRS / Université Lumière Lyon 2 / ENS de Lyon), et de l’Université de Lille, au laboratoire Lille économie et management (CNRS / Université de Lille / IÉSEG School of Management) lancent un appel aux industriels dans la revue Nature parue le 25 mars. En regroupant les droits de propriété intellectuelle, ce mécanisme C-TAP permettrait de réduire les prix des licences, notamment à destination des producteurs de génériques dans les pays en développement, tout en respectant la propriété des industriels et donc leurs incitations à investir dans la recherche et le développement. Lire la suite ![]()
La pose de faux ongles requiert l’utilisation de colles puissantes, notamment les colles cyanoacrylates. Leur usage de plus en plus répandu à la maison peut être à l’origine d’accidents graves, notamment de brûlures thermiques profondes, comme le rapportent les Centres antipoison. La disparité des messages de risque et de précaution d’emploi sur les emballages appelle à renforcer l’information des consommateurs sur les risques encourus, en particulier lors de la projection de colle cyanoacrylate sur des textiles/vêtements en contact avec la peau.Lire la suite ![]()
La consommation de coquillages bivalves (moules, huîtres...) peut être à l’origine de troubles neurologiques graves voire mortels, liés à l’accumulation dans la chair des mollusques de toxines naturelles dont les teneurs sont par ailleurs réglementées. En juin 2019, une intoxication spécifique liée à la consommation de moules contaminées par des toxines paralysantes a attiré l’attention de l’Anses et des Centres antipoison (CAP) sur une possible méconnaissance diagnostique des intoxications par des neuro-toxines marines. Une étude rétrospective des cas d’intoxication par des coquillages enregistrés par les CAP de 2012 à 2019, et des données de surveillance réglementaire des zones de production conchylicoles, a permis d’identifier 15 cas probables d’intoxication par des neurotoxines. Une surveillance prospective des intoxications par des coquillages à l’origine de signes neurologiques a depuis été mise en place à partir des données des CAP.Lire la suite ![]()