Les news

Bienvenue sur notre espace "infos"

Sous-encadrement des formations universitaires : un début de réponse pour les STAPS qui doit encore se concrétiser et être renforcé !

Depuis 2017, le SNEP-FSU et le SNESUP-FSU alertent sur la situation très préoccupante des composantes STAPS. En juin dernier, les collègues de l’UFR STAPS de Rennes 2 annonçaient leur incapacité à organiser la rentrée de septembre en raison d’un sous-encadrement devenu impossible à contrebalancer par un engagement dépassant déjà largement les limites du supportable. A la suite, d’autres STAPS faisaient connaître leur situation également catastrophique au regard du taux d’encadrement et de l’état des équipements sportifs disponibles. Face à la pression publique exercée par la non rentrée à Rennes 2 et les différentes actions organisées depuis la rentrée 2021 : de la journée nationale des STAPS et du rassemblement devant l’assemblée nationale le 24 novembre, en passant par le « jeudi noir » du 13 octobre et les multiples actions locales dans les STAPS et devant les rectorats, la ministre a répondu par l’activation du dialogue de gestion stratégique (DGS) via les rectorats et universités (STAPS) pour faire remonter un chiffrage des besoins. A notre connaissance, les besoins exprimés par les STAPS se chiffrent à un total de près de 20 millions d’euros correspondant au financement des postes nécessaires pour remédier au sous-encadrement et accompagner l’augmentation des effectifs étudiants, à la rénovation de l’environnement et au renforcement des liens avec la recherche.. Lire la suite Lire la suite

Sexualité : l'homme et les caresses

Toutes les parties du corps de l’homme ont une potentialité érogène, et peuvent être sources de sensations agréables, voire voluptueuses. Le domaine érotique est infini. À vous de l’explorer par l’entremise de la caresse.Lire la suite Lire la suite

Sexe / Ce qu'attendent les hommes

L’homme en a assez d’être seul actif, d’avoir tout à faire, à prendre toutes les initiatives, à mener tous les ébats. C’est anxiogène, c’est épuisant. Il aimerait lui aussi pouvoir s’abandonner. Il veut en finir avec cette conception occidentale selon laquelle la femme doit être passive, n’a rien à faire, tandis que l’homme est le seul responsable des plaisirs, tout reposant finalement, sur sa capacité érectile. Bien entendu, la femme n’est pas coupable de son inertie, ce sont les hommes des temps passés qui lui avaient imposé l’immobilité et interdit la volupté : « Une femme honnête n’a pas de plaisir. » Bouger, jouir, crier, c’était bon pour les prostituées.Lire la suite Lire la suite

Pages