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Les dépôts de protéines bêta-amyloïdes peuvent commencer à se former avant 50 ans, de même que l’on peut commencer avant même cet âge à perdre des connexions3 nerveuses, autrement nommées « synapses », et des neurones. Il est donc intéressant de prendre les mesures qui réduisent leur formation tôt dans sa vie. Ceci d’autant plus que le débit du sang qui irrigue le cerveau commence à baisser dès la fin de la croissance. Or nous verrons que les problèmes de circulation sanguine jouent aussi un rôle important dans le maintien de nos capacités intellectuelles.
Notre cerveau contient toutefois environ cent milliards de neurones. C’est plus qu’il n’en faut pour mener sa vie de manière autonome. On peut donc en perdre un grand nombre avant d’en percevoir des conséquences.Lire la suite
C’est en 1906 qu’Aloïs Alzheimer découvre la maladie qui porte son nom. Cette affection cérébrale fréquente entraîne une disparition progressive des liaisons entre les cellules nerveuses ou neurones, puis des neurones eux-mêmes, dans les régions du cerveau qui gèrent certaines capacités, comme la mémoire, le langage, le raisonnement ou encore l’orientation. Suite à cette détérioration des réseaux cérébraux, on ne parvient plus à retenir des choses nouvelles, on ne reconnaît plus certains lieux et même des êtres proches. Résultat : après des années de perte de mémoire, la personne ne peut plus être autonome. Elle devient « démente ».Lire la suite
Le vieillissement est l’un des principaux facteurs prédisposant à la maladie d’Alzheimer : plus on vieillit, plus le risque d’être atteint par la maladie est élevé. Si ce risque n’est que de 1 % à 60 ans, il grimpe ensuite en flèche pour atteindre 18 % à 80 ans, puis 45 % une fois dépassé l’âge de 90 ans. Chaque année, 225 000 Français sont diagnostiqués Alzheimer, soit un toutes les trois minutes.Lire la suite