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Grandir avec une diversité de fratrie : quels sont les impacts sur les enfants ?

La question des fratries et ses différentes déclinaisons est une thématique qui a été peu documentée par les chercheurs. Il faut donc être prudent avec les informations dont nous disposons, car elles peuvent être partielles et parfois contradictoires. Par exemple, on a davan- tage étudié la situation des adolescents. Est-ce que les observations faites auprès d’eux sont transposables aux plus jeunes ? On ne le sait pas vraiment. Quoi qu’il en soit, nous aborderons ici les particularités des relations de fratrie, de demi-fratrie et de quasi-fratrie et leurs impacts sur l’adaptation des enfants. Nous ferons aussi ressortir ce qui influence ces relations et les moyens qu’on peut mettre de l’avant, comme adultes, pour en favoriser l’harmonie.Lire la suite Lire la suite

Une famille recomposée est-elle une famille nécessairement problématique ?

Si l’on vous dit «famille recomposée», « beau-père », « belle-mère », quels adjectifs vous viennent à l’esprit ? Sont-ils positifs ? Si ceux auxquels vous songez d’abord sont négatifs, rassurez-vous: vous n’êtes pas seuls à associer spontanément une image négative à la famille recomposée. Mais d’où nous vient cette impression que la famille recomposée a moins de valeur ou vit plus de difficultés? De l’histoire de Blanche-Neige? Hansel et Grethel ? Aurore, l’enfant martyr ou Cendrillon ?Lire la suite Lire la suite

La recomposition familiale, un nouveau modèle de famille ?

Bien que l’on attribue souvent à l’augmentation des divorces et des séparations chez les couples en union libre l’apparition et la croissance des familles recomposées, celles-ci sont loin d’être un phénomène moderne. Du xvIe au xIxe siècle, la recomposition familiale était largement répandue. À cette époque, l’espérance de vie était très courte et les contraintes financières et de prise en charge des enfants obligeaient les veufs et les veuves à chercher rapidement à se remarier. On estime par exemple qu’au Québec, au xvIIe siècle, un mariage sur trois était en fait un remariage. Ces hauts taux de remariage signifient qu’une grande proportion d’enfants était élevée au sein de familles comprenant un beau-parent, voire un beau- père et une belle-mère, les parents d’origine étant morts tour à tour. Les taux de remariage restent élevés jusqu’au début du xxe siècle, quand l’espérance de vie augmente soudain de façon marquée. La vie conjugale connaît alors une période de stabilité qui sera cependant de courte durée. En effet, l’évolution des valeurs et des mentalités entraîne une nette augmentation des taux de divorce et, par la suite, des taux de recomposition familiale.Lire la suite Lire la suite

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