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Les grands perturbateurs de la digestion

Un équipement aussi sophistiqué prête forcément le flanc à des perturbations. C’est un adage bien connu des ingénieurs de tous poils : plus un système est complexe, plus les risques de panne sont nombreux. Notre système digestif n’y échappe pas. Heureusement, tant que les déséquilibres ne sont pas trop anciens et engrammés, il est possible de préserver l’équilibre en évitant quelques ennemis clairement identifiés.Lire la suite Lire la suite

La tête et le ventre : des résonances émotionnelles importantes

C’est clair : notre tube digestif est le lieu de plusieurs alchimies croisées. Dès les premières semaines de notre vie terrestre, nous avons reçu deux sortes de nourriture : l’une bien palpable, que nous portions à notre bouche et laissions transiter le long de notre tube digestif ; l’autre impalpable, tissée d’émotions que nous recevions au cours des repas. Dès le début, la faim tiraillant notre ventre nous mettait dans un état de tension très inconfortable. Mais le lait coulant dans notre gorge nous apaisait rapidement. Cette alternance de désagrément et de plaisir a rythmé notre relation à l’alimentation dès nos premiers jours. Par la suite, c’est encore dans le ventre qu’ont résonné de manière privilégiée nos émotions les plus élaborées. Dès la petite enfance, plaisir, frustration, joie, peur, malaise, tristesse... passent par des sensations corporelles abdominales. Plus tard, lorsqu’il s’est agi de devenir autonome, c’est en acquérant la propreté que nous avons effectué le premier pas décisif. Encore une histoire d’abdomen.Lire la suite Lire la suite

Digestion : neurones d’en haut et neurones d’en bas...

Vous trouvez le système digestif complexe et performant ? Vous n’êtes pas au bout de vos surprises ! Car il renferme aussi des cellules qu’on ne s’attendrait pas à trouver dans notre ventre : des neurones. Identiques à ceux qui constituent notre cerveau. Les parois de notre tube digestif donnent asile à quelque 200 millions de ces cellules nerveuses. Certes, c’est peu comparé aux 100 milliards qui occupent notre boîte crânienne. Mais c’est tout de même davantage que le cerveau d’un petit chien ou d’un chat. Et c’est suffisant pour que des informations s’échangent entre ces deux « cerveaux ».Lire la suite Lire la suite

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