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C’est au troisième degré, au grade de maître, qu’apparaît Hiram et le mythe de son assassinat par trois mauvais compagnons.Lire la suite
Classiquement, on définit le symbole par référence au « signe de reconnaissance » (sumbolon) grec consistant à réunir les deux moitiés d’un objet fragmenté.Lire la suite
Selon le lieu commun habituel, la Tradition se perd dans la nuit des temps, à tel point qu’elle doit être considérée comme d’origine non humaine ou supra humaine ; ce qui ne signifie pas pour autant qu’elle soit l’enseignement d’un dieu personnel au sens où l’entendent les autorités religieuses monothéistes contemporaines. D’ailleurs, si la Tradition devait être considérée ainsi, on devrait nier le caractère traditionnel du taoïsme et de certaines branches du bouddhisme. Il faudrait plutôt la voir comme inhérente à l’harmonie universelle, née avec l’homme parce que préexistante à lui. C’est ce que la Tradition ex- prime quand elle déclare que notre père Adam détenait, à son arrivée sur Terre, toute la sagesse et toutes les connaissances. C’est ce que proclament les Constitutions d’Anderson, et donc, à travers elles, la Maçonnerie, en faisant d’Adam le premier Maçon et le premier grand maître de l’ordre maçonnique. La Tradition, donc, est l’essence de toute religion, au sens large du terme, et de toute initiation. Elle est universelle, même si ses formes varient indéfiniment ; et, si l’on voulait s’exprimer correctement, on ne parlerait pas de tradition chrétienne, bouddhiste ou hindouiste mais de « forme traditionnelle » chrétienne, bouddhiste ou hindouiste. De fait, ce que le Maçon découvre - car le Maçon découvre ou prend conscience mais n’apprend pas, même s’il reste un « éternel apprenti » - est exactement, au moins en principe, sous une forme différente, ce qu’il aurait découvert dans une autre forme initiatique.Lire la suite