Présidentielle : QUELLE PLACE POUR LA SANTÉ MENTALE DES FRANÇAIS DANS LE DÉBAT ?

Tandis que l’OMS prédit la dépression comme première maladie mondiale en 2030,

 

comment nos 12 candidats se positionnent-ils aujourd’hui sur le sujet de la santé mentale ?

 

Paris, le 1er avril 2022l A quelques jours du premier scrutin, et tandis que l’INSEE rappelait récemment que la santé était la première préoccupation des Français en 2021, les sujets de santé publique préemptés par les candidats à l’élection présidentielle se font encore rares et semblent se limiter – une fois de plus – à l’émergence de solutions « pansements » pour parer à la crise des hôpitaux, ou aux déserts médicaux. Une partie émergée d’un iceberg qui s’alourdit chaque jour davantage, à défaut de ne pas être considéré dans son entièreté.

 

Car parmi les maux qui doivent nous (les) alarmer : celui de la santé mentale. Selon l’INSERM, 25% de la population française sera en effet concernée par un trouble psychique dans sa vie.

 

De la création d’un Institut de la Santé Mentale pour Valérie Pécresse, à la nomination du sujet en Grande Cause du Quinquennat pour Anne Hidalgo, en passant par les ouvertures de lits envisagées par Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon,… La santé mentale donne lieu à un saupoudrage de déclarations, mais peu de concret jusqu'ici.

 

 

 

 

Quelle place les différents candidats accordent-ils aux sujets de santé mentale dans leurs programmes ?

 

Quelles sont leurs idées pour que les Français aillent mieux ?

 

Quelles ont été les réalisations et mesures prises lors de ce dernier quinquennat ?

 

Combien coûte la santé mentale au pays aujourd’hui ?

 

Quelles initiatives pourraient être déployées pour favoriser l’accessibilité aux soins ?

 

Le Dr. Fanny Jacq, psychiatre, directrice de la santé mentale chez Qare, et présidente du collectif Mental tech, se tient disponible pour dresser un état des lieux du traitement du sujet de la santé mentale par les candidats, et échanger sur ses enjeux médicaux, sociaux, et économiques pour le pays.