Baromètre Livi - An II de la téléconsultation 83% des français la juge convaincante pour renforcer l'accès aux soins

 

LIVI, l’un des principaux offreurs de soins digital en France, qui permet aux patients de consulter via une application, en vidéo, un médecin généraliste en quelques minutes, lance la seconde édition de son baromètre dédié à la téléconsultation2. Ce baromètre vise, à raison d’une fois par an, à observer, analyser et mesurer le rapport des Français à la téléconsultation et permettre d’adapter les solutions proposées et l’information sur ces dernières aux besoins de la population.

 

 

Une offre de soins particulièrement bien identifiée

La seconde vague de résultats de cette étude, réalisée du 7 au 9 janvier auprès d’un échantillon représentatif de 1 013 Français, vient majoritairement souligner qu’en cette seconde année de déploiement dans l’Hexagone, la téléconsultation est pleinement entrée dans le quotidien des Français. Depuis janvier 2019, 9 français sur 10 (92% soit une hausse de 6 points en un an) déclarent avoir déjà entendu parler de la télémédecine. 

 

 

Une réponse évidente aux besoins des populations en difficulté d'accès aux soins

Autre aspect, qui vient confirmer une tendance d’ores et déjà largement soulignée l’an dernier : les Français perçoivent également que la téléconsultation vient compenser la mauvaise répartition des médecins sur le territoire. 83% des Français jugent ainsi qu’elle est particulièrement convaincante pour renforcer l’accès aux médecins, en permettant de désengorger les services d’urgence et en luttant contre les déserts médicaux.

 

 

Le remboursement de la téléconsultation : enjeu clé du déploiement de cette pratique utile

Enfin, cette étude vient souligner l’attitude des Français au regard du remboursement de la téléconsultation. Alors même que la seconde vague de ce baromètre permet de mettre en évidence de nombreux cas de figure où les Français pourraient envisager de recourir à la téléconsultation, et ce de manière raisonnée, dans des situations précises où elle apporte un service dont ils ont besoin, l’hypothèse de son non-remboursement pourrait considérablement remettre en cause cette possibilité, et les priver d’un service utile.