Ne dit-on pas que nous avons l’âge de nos artères ?
Avec l’âge, nous sommes tous confrontés au risque d’une perte de l’élasticité de nos artères qui se durcissent progressivement, avec éven- tuellement la formation de plaques (athérosclérose). La diminution de la lumière artériolaire favorise l’hypertension et dans le pire des cas la formation d’un caillot, le blocage de celui-ci entraînant au niveau du cerveau l’AVC, ou au niveau du cœur l’infarctus. En réalité, il est de la plus grande importance de conserver des artères souples et d’éviter leur dégénérescence si l’on souhaite bien profiter de sa retraite. Pour cela, il faut éviter l’inflammation artérielle silencieuse, principale responsable.
En dehors d’une prédisposition génétique, il faudra échapper à l’overdose de stress en augmentant son seuil d’invulnérabilité grâce à la digitopuncture, éviter les problèmes digestifs et intestinaux générateurs de mini-inflammations chroniques à distance. À ce sujet, nous verrons le rôle délétère des excès de glucide et particulièrement du sucre. Et bien entendu les produits chimiques, les métaux lourds, le tabac, l’alcool en excès. Une prédisposition, aggravée par le cumul de poisons absorbés à travers des parois intestinales poreuses, favorisera progressivement la dégénérescence artérielle. Ce que l’on appellera quelques années plus tard « le coup de vieux ».
Pour éviter cette décrépitude, il convient au plus tôt de favoriser la digestion, éviter de consommer des poisons, éviter les carences en vitamines, oméga-3, zinc, magnésium, silice, soufre, iode, phosphore, sélénium et chrome, favoriser la détoxication organique.
Jacques Staehle
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