Séduire : la communication est adaptation

Autre clef, la communication est une adaptation. Entrer en relation, c’est accepter de danser une valse d’un même pas. Au cours du premier contact, on cherche l’harmonie, les points communs, un terrain d’entente, car le proverbe a raison en affirmant : « Qui se ressemble s’assemble. » Coulons-nous dans le moule et les besoins de nos interlocuteurs, branchons-nous sur leur sphère. Pour cela, il faut évidemment les observer et les écouter. Dans les stages de vente, on conseille aux jeunes commerciaux : « Écoutez les gens : ils vous trouveront très intéressants. » Savoir s’adapter est une clé du succès.


La communication est une adaptation. Entrer en relation, c’est accepter de danser une valse d’un même pas. Au cours du premier contact, on cherche l’harmonie, les points communs, un terrain d’entente, car le proverbe a raison en affirmant : « Qui se ressemble s’assemble. » Coulons-nous dans le moule et les besoins de nos interlocuteurs, branchons-nous sur leur sphère. Pour cela, il faut évidemment les observer et les écouter. Dans les stages de vente, on conseille aux jeunes commerciaux : « Écoutez les gens : ils vous trouveront très intéressants. » Savoir s’adapter est une clé du succès.

S’adapter à qui ? à quoi ?
• À la personne. Aux caractères, aux statuts, aux circonstances. On ne peut aborder de la même manière le timide et le boute-en-train, un jeune de son âge et une personne âgée, un supérieur hiérarchique et un collègue de même rang.

• À la situation. On prend avec raison un air d’enterrement lors de funérailles, une mine réjouie pour une fête ou un mariage. Un air sérieux pour un entretien d’embauche. D’où la nécessité de bien connaître ce que l’on appelle « les conventions sociales ».

• À l’intimité possible. Les types de sujets de conversation varient selon que l’on se connaît bien ou pas encore : conversation très intime avec des amis, enjouée et légère avec des copains, technique avec l’employeur, banale avec un inconnu, etc.

• À l’objectif. Avec certaines personnes, dans certaines circonstances, on va droit au but sans écouter parce que ce n’est ni le lieu, ni le moment d’engager la conversation. D’autres fois, nous utilisons toutes sortes de circonlocutions pour savoir si cette fille n’aurait pas par hasard... enfin, en ce moment, quelqu’un dans sa vie ?

Patricia Delahaie

 

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