NE TOURNONS PLUS LE DOS À LA DOULEUR ! AGISSONS !

Neuf Français sur dix ont déjà eu mal au dos. Près de quatre Français sur dix ont souffert de mal de dos plus de dix fois au cours des cinq dernières années. Les derniers chiffres issus de l’étude OpinionWay pour Vexim* sont sans appel : le mal de dos est vraiment le mal du siècle. Et, contrairement aux idées reçues, ce n’est pas qu’un problème de « vieux », car les jeunes ne sont pas épargnés : 82 % des 18-24 ans se disent concernés. 
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Neuf Français sur dix ont déjà eu mal au dos. Près de quatre Français sur dix ont souffert de mal de dos plus de dix fois au cours des cinq dernières années. Les derniers chiffres issus de l’étude OpinionWay pour Vexim* sont sans appel : le mal de dos est vraiment le mal du siècle. Et, contrairement aux idées reçues, ce n’est pas qu’un problème de « vieux », car les jeunes ne sont pas épargnés : 82 % des 18-24 ans se disent concernés.

Le mal de dos est souvent vécu comme une fatalité. Plus d’une personne concernée sur cinq se contente de prendre son mal en patience, en attendant que « ça passe ». Mais il est urgent de dire stop ! Prendre au sérieux cette douleur et la traiter est la condition sine qua non pour éviter qu’elle ne s’installe et ne devienne chronique. Il est beaucoup plus facile d’agir tôt que trop tard, plus efficace de prévenir que de guérir.

Agir, oui, mais comment ? Selon les résultats de l’étude citée plus haut, ceux qui décident de faire quelque chose contre leur mal de dos se tournent en majorité vers... les médicaments, tout en reconnaissant qu’ils ne sont pas efficaces ! Si ces produits chimiques peuvent apporter un soulagement temporaire, ils sont en revanche incapables de résoudre le problème à long terme. Résultat : seulement 22 % des Français se disent satisfaits des solutions qu’ils mettent en œuvre pour traiter leur mal de dos.

Si aujourd’hui, face à la douleur, la prise d’un médicament antalgique ou anti-inflammatoire est souvent un réflexe, ce n’est pas une solution à systématiser, et cela pour plusieurs raisons. Tout d’abord parce que le soulagement ressenti est provisoire, ce qui est logique puisque le médicament traite les effets du problème, et non sa cause qui, elle, persiste. La douleur peut donc être réactivée à tout moment, dès que le médicament ne fait plus e et. À cela il faut ajouter les nombreux effets indésirables des médicaments. En n, les médicaments ont pour conséquence de masquer le problème, devenant ainsi non seulement une cause majeure de l’installation des douleurs, qui deviennent chroniques (et donc beaucoup plus difficiles à traiter), mais aussi un facteur de dégénérescence accélérée. Si on ne traite pas correctement les problèmes mécaniques de la colonne vertébrale, les articulations et les disques en souffrent, ce qui peut conduire à des pathologies qui auraient pu être évitées si le problème avait été pris en charge.

Quelle est donc la solution ? Le plus important, dans un premier temps, est de prévenir le mal de dos. Certains gestes tout simples sont très efficaces : le choix d’une posture adaptée pour chaque activité quotidienne, la pratique d’une activité physique douce et régulière, quelques exercices ciblés pour détendre les muscles, assouplir les articulations... Prendre soin de son dos passe aussi par une hygiène de vie plus globale, notamment au niveau alimentaire. Et que faire pour soulager la douleur lorsque celle-ci est là ? Certains remèdes naturels hérités de nos grands-mères ont fait la preuve de leur efficacité. Les médecines douces – les thérapies manuelles comme l’ostéopathie, la digitopuncture, les méthodes de rééducation spécifiques... – ont elles aussi le vent en poupe. Il y a forcément une solution à vos maux de dos !

ATTENTION !
Dans certaines pathologies, la prise d’anti-inflammatoires reste conseillée pour soulager les poussées inflammatoires et éviter la destruction du cartilage. Dans tous les cas, il faut prendre ces traitements en toute connaissance de cause. Si vous êtes concerné par ce problème, n’hésitez pas à en discuter avec le médecin qui vous suit.


Sonia Martinez-Reygaza / Alix Lefief Delcourt

                                                                           

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