Les ingénieurs, ressources indispensables, et pourtant trop rares, pour répondre à la transition énergétique

 

 

Alors que la reprise économique post Covid-19 a dopé la demande et que la guerre en Ukraine impacte les approvisionnements en gaz, le marché européen se tend et la crise énergétique se répercute à tous les niveaux de la société, contraignant les populations à repenser leurs usages du quotidien.

Toutefois en temps de crise, des opportunités apparaissent en matière d'innovation. Mais à l’heure où les projets de décarbonation des consommations énergétiques se multiplient, où des solutions alternatives au gaz, au nucléaire ou au charbon doivent émerger, les professionnels du secteur peinent à recruter et auront besoin, d’ici 2030, de compter parmi leurs effectifs entre 10 000 et 15 000 ingénieurs supplémentaires.

Pour répondre à ce besoin croissant, des formations existent. C’est le cas à l’Institut Polytechnique UniLaSalle, qui se positionne à la croisée des transitions énergétiques, environnementales, numériques, agricoles et alimentaires. Alors, quels sont ces profils d’ingénieurs qui manquent à l'appel ? Quelles formations s'ouvrent aux candidats et quelles en sont les débouchés ?