Paris, le 18 novembre 2015 – Le collectif d’artistes de l’exposition temporaire « Fukushima mon amour » lancé depuis le mois de septembre dernier va pouvoir pleinement délivrer son message au travers de la COP 21 qui débutera le 30 novembre. Cette exposition dédiée aux bouleversements climatiques, écologiques et humains souhaite à travers l’art alerter et réveiller les consciences sur les ravages écologiques de notre monde moderne.
C’est avec fierté et générosité que chacun des artistes a répondu à l’appel du message lancé par le collectif Fukushima Mon amour pour rappeler le silence des médias sur un sujet aux conséquences dramatiques pour l’humanité. Pour ne citer que quelques-uns : JC de Castelbaljac, Aurèle, Renk, Louis Jammes, Bernard Pras…
Par l’art, ses fondateurs ont voulu créer une vraie tribune d’expression aux solutions humanistes de gouvernance mondiale.
Pendant plus de trois mois, les « ART’ivistes » exposent des œuvres uniques, toutes liées à la catastrophe Japonaise de 2011, qui a engendré des semaines d’angoisse à chaque frontière. C’est donc là, la vision d’un monde entrelacé entre catastrophes et nucléaires, tirant peu d’enseignements de ces grands désastres humains et technologiques.
L’exposition « Fukushima Mon amour » a choisi d’investir un lieu à sa mesure dans le nouvel espace du 18bis Boulevard Voltaire à Paris. Une salle dédiée aux disciplines du corps et sur l’ouverture d’une humanité consciente. 15 lors de première session en 2014, ils sont 40 puis 50, et désormais 60, à avoir voulu contribuer à cette cause. Ainsi 2 nouveaux venus, Seb JANIAK et Jean-Luc Vilmouth rejoignent cette galerie qui à deux pas de la place de la République et au vu des derniers évènements tragique à Paris résiste plus que jamais.