Une maîtrise architecturale ou la détermination de la mesure universelle

Pour avoir rencontré et admiré l’architecte Frank Lloyd Wright dans ses œuvres multiples, pour avoir reçu l’usage du Modulor de Le Corbusier des mains de J. L. Sert à Cambridge en 1967 et l’avoir utilisé pendant plus de quarante-cinq ans depuis cette date, pour avoir reçu l’enseignement de Jean Faugeron avec attention et respect, nous partageons le point de vue de ces personnes remarquables. Il nous reste aujourd’hui à le relier mathématiquement aux mesures des réseaux cosmotelluriques pour assurer avec Corbu lui-même que « l’harmonie couronne notre effort ». Nous aurons ainsi, alors, par notre « tâtonnement expérimental », cher à Célestin Freinet, bouclé la boucle de la détermination de la mesure universelle, entre la nature de l’homme, ses dimensions, sa place dans cet ordre des choses sur Terre d’une part et dans le cosmos, partie prenante de l’Univers, d’autre part.
Le réseau « H » sur le plan d’une chambre à coucher © Dangles

 


Pour avoir rencontré et admiré l’architecte Frank Lloyd Wright dans ses œuvres multiples, pour avoir reçu l’usage du Modulor de Le Corbusier des mains de J. L. Sert à Cambridge en 1967 et l’avoir utilisé pendant plus de quarante-cinq ans depuis cette date, pour avoir reçu l’enseignement de Jean Faugeron avec attention et respect, nous partageons le point de vue de ces personnes remarquables. Il nous reste aujourd’hui à le relier mathématiquement aux mesures des réseaux cosmotelluriques pour assurer avec Corbu lui-même que « l’harmonie couronne notre effort ». Nous aurons ainsi, alors, par notre « tâtonnement expérimental », cher à Célestin Freinet, bouclé la boucle de la détermination de la mesure universelle, entre la nature de l’homme, ses dimensions, sa place dans cet ordre des choses sur Terre d’une part et dans le cosmos, partie prenante de l’Univers, d’autre part.

De cette expérimentation personnelle, qu’en est-il ?
Abordons, par l’exemple du réseau Hartmann, cette extraordinaire discipline qu’est la géobiologie.
Ce réseau « H », proche du corps humain, se présente comme une grille orthogonale de vibrations subtiles (quelques dixièmes de hertz de fréquence) recouvrant notre environnement immédiat.

Toutes les mesures de réseaux cosmotelluriques changent d’un lieu à l’autre, assujetties qu’elles sont à des influences diverses et variées : leur situation géographique sur la planète, la nature du sous-sol, les pollutions des champs électromagnétiques et de communications informatiques, la présence de failles, de constructions, d’ondes de formes, les perturbations climatiques et telluriques, les séismes, etc. Mais, de tous les réseaux (ils sont connus au nombre de 14 à ce jour), le plus reconnu et le plus proche du corps humain est ce réseau « H », dessiné ci-dessus.

Une moyenne statistique occidentale, admise par le corps des radiesthésistes, de la mesure de ce réseau (que nous pourrions qualifier de « domestique », tant il nous est proche) doit pouvoir s’établir grosso modo autour de 2,00 m/2,50 m dans le sens est- ouest et 1,70 m/2,00 m dans le sens nord-sud.

Cette expérience, forcément limitée, subjective, et cantonnée à une latitude nord de 42 à 48°, porte sur plusieurs années de relevés topographiques, sur toutes sortes de terrains d’assiette, effectués par de nombreux professionnels géobiologues.

Nous verrons plus loin, en développant le sujet, que ce réseau, comme tous les autres réseaux telluriques, respecte le géotropisme terrestre, c’est-à-dire une configuration verticale et horizontale universelle absolue.

Étonnamment, la moyenne statistique de ces mesures telluriques concorde avec les mesures humaines universelles reconnues :
– est-ouest : 2,25 m du réseau « H » en moyenne, proche des 2,26 m du Modulor (Le Corbusier) et de la longueur du double tatami japonais (2 x 1,13 m).
– nord-sud : 1,85 m du réseau « H » en moyenne, proche des 1,83 m du Modulor et de la largeur du même tatami japonais.
– le rapport de ces mesures 1,83 m x 1,13 m = 1,619 étant proche du nombre d’or (1,618) au dixième de millimètre... !

La cohérence dimensionnelle quasiment exacte entre cette fameuse « mesure humaine » préconisée par nos grands anciens, l’architecture organique, celle du Modulor, celle du tatami japonais et celle du nombre d’or universel, d’une part, et la configuration du réseau cosmotellurique le plus proche du corps humain (le réseau Hartmann) d’autre part semble vouloir ici s’établir. Avançons cette découverte personnelle, à ce jour incontestée, pour progresser sur le terrain de l’harmonie universelle. Ainsi, le prix à payer pour en vérifier le fondement ne serait au final que celui d’une observation rigoureuse des dimensions du corps humain et de ses habitudes domestiques, rapportées à celles des échanges vibratoires reconnus entre la Terre et le cosmos... Un lien mathématique absolu en quelque sorte.

La construction rapide (seulement quelques années) du Parthénon de Périclès à Athènes par Phidias, son architecte sculpteur, fin connaisseur des mesures du corps humain, n’a été possible que par l’utilisation de modules de préfabrication introduisant les mesures du pan, du pied et de la coudée – comme toute mesure de construction, avant la Révolution française. Tout cela reprendrait ainsi son sens aujourd’hui si, à la lumière des dimensions de ces réseaux, nous convenions de cette immense connivence entre les bâtisseurs et les artistes de l’Égypte, de l’Antiquité, du Moyen Âge, de la Renaissance et de notre ère contemporaine, d’une part (« l’homme est la mesure de toute chose »), et la Nature elle-même, d’autre part !

Récapitulons :
– Frank Lloyd Wright apporte à l’architecture sa « fonction
organique ».

– Le Corbusier, après d’autres figures historiques comme
l’architecte Vitruve ou le mathématicien Fibonacci, nous met dans la main son ruban gradué rouge et bleu pour la conception architecturale.

– Dans l’art, le rapport du nombre d’or nous y conduit.

– 5 000 ans d’histoire japonaise aussi.

S’agirait-il d’un passeport universel entre noyau terrestre et cosmos, dont l’homme serait porteur, à son insu ?

 

   Dominique Pétry-Amiel    
                                                                              

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 Champs vibratoires et architecture