Expo / james Guitet
Peintures des années 1950 – 1960
11 mars au 9 avril 2016
Galerie Bertrand Trocmez
James Guitet - Sans titre - 1950
Peintre, graveur, James Guitet est né en 1925 à Nantes, où il suit des études à l’école des Beaux-Arts de 1942 à 1947 puis à l’Académie Jaudon à Paris.
C’est en 1944 qu’il fait la connaissance de Michel RAGON qui est devenu et resté son meilleur ami. Celui-ci le considérait comme l’un des meilleurs représentants de la seconde génération des peintres de l’abstraction lyrique qui s’est manifestée après la Seconde Guerre Mondiale.
Il participe au Salon des Réalités nouvelles dès 1953. En 1954, il expose pour la première fois à la galerie Arnaud à Paris. Suivront de nombreuses expositions dans cette galerie, puis à Nantes, Rennes, Tourcoing, etc. mais aussi au Canada et dans plusieurs pays européens. Nombre de ses œuvres ont été acquises par des musées en France et à l'étranger. Il obtient le Prix David Bright pour les arts graphiques lors de la Biennale de Venise en 1962 puis le Prix de gravure à la Biennale de Ljubliana en 1965. James Guitet a également enseigné le dessin de mode et l'histoire du costume à l'École des Beaux-Arts d'Angers, puis le dessin à Versailles et à la Sorbonne.
James Guitet appartient à la seconde génération de l’abstraction lyrique, dont les œuvres se sont imposées à Paris à partir de 1955. Après des débuts marqués par l'abstraction géométrique, son travail s'oriente rapidement vers une recherche d'effets de matière, à partir d'une technique à base de caséine qui le conduit à des textures ligneuses dont l'épaisseur s'oppose aux aplats colorés. Ces deux caractéristiques de son vocabulaire plastique se déclinent dans des compostions austères très architecturées. « Paysage » abstrait, sa peinture appréhende la nature en captant ses énergies. Les années 1970 ouvrent une période d’analyses théoriques et de recherches plastiques durant laquelle il expérimente de nouveaux formats et interroge la fonction traditionnelle du châssis, élément constitutif et structurel de la peinture. Par le biais de la gravure, Guitet s’intéresse également au livre et commence à créer ses livres blancs, creusés et sculptés, dans lesquels on peut retrouver sa fascination pour le volume et l’architecture. En effet, dès sa fondation en 1965 par Michel Ragon, il adhère au GIAP (Groupe International d’Architecture Prospective). Il met au point un projet d’habitation biologique sous coupole, puis d’urbanisme côtier, tout en continuant de peindre et d’exposer. Depuis 1979, il poursuit ses recherches de graveur et de peintre, et son œuvre s’oriente vers un dépouillement sensible. Il a également réalisé une série de peintures sur le pli en hommage à Deleuze et à l’histoire de la peinture. Le pli devient ici rythme dynamique d’un espace sans fin, générateur de « forces dérivatives », de remous, d’ombres et de lumière.
Musée et collections Publiques Allemagne
Musée des Beaux Arts, Saarbrücken
C’est en 1944 qu’il fait la connaissance de Michel RAGON qui est devenu et resté son meilleur ami. Celui-ci le considérait comme l’un des meilleurs représentants de la seconde génération des peintres de l’abstraction lyrique qui s’est manifestée après la Seconde Guerre Mondiale.
Il participe au Salon des Réalités nouvelles dès 1953. En 1954, il expose pour la première fois à la galerie Arnaud à Paris. Suivront de nombreuses expositions dans cette galerie, puis à Nantes, Rennes, Tourcoing, etc. mais aussi au Canada et dans plusieurs pays européens. Nombre de ses œuvres ont été acquises par des musées en France et à l'étranger. Il obtient le Prix David Bright pour les arts graphiques lors de la Biennale de Venise en 1962 puis le Prix de gravure à la Biennale de Ljubliana en 1965. James Guitet a également enseigné le dessin de mode et l'histoire du costume à l'École des Beaux-Arts d'Angers, puis le dessin à Versailles et à la Sorbonne.
James Guitet appartient à la seconde génération de l’abstraction lyrique, dont les œuvres se sont imposées à Paris à partir de 1955. Après des débuts marqués par l'abstraction géométrique, son travail s'oriente rapidement vers une recherche d'effets de matière, à partir d'une technique à base de caséine qui le conduit à des textures ligneuses dont l'épaisseur s'oppose aux aplats colorés. Ces deux caractéristiques de son vocabulaire plastique se déclinent dans des compostions austères très architecturées. « Paysage » abstrait, sa peinture appréhende la nature en captant ses énergies. Les années 1970 ouvrent une période d’analyses théoriques et de recherches plastiques durant laquelle il expérimente de nouveaux formats et interroge la fonction traditionnelle du châssis, élément constitutif et structurel de la peinture. Par le biais de la gravure, Guitet s’intéresse également au livre et commence à créer ses livres blancs, creusés et sculptés, dans lesquels on peut retrouver sa fascination pour le volume et l’architecture. En effet, dès sa fondation en 1965 par Michel Ragon, il adhère au GIAP (Groupe International d’Architecture Prospective). Il met au point un projet d’habitation biologique sous coupole, puis d’urbanisme côtier, tout en continuant de peindre et d’exposer. Depuis 1979, il poursuit ses recherches de graveur et de peintre, et son œuvre s’oriente vers un dépouillement sensible. Il a également réalisé une série de peintures sur le pli en hommage à Deleuze et à l’histoire de la peinture. Le pli devient ici rythme dynamique d’un espace sans fin, générateur de « forces dérivatives », de remous, d’ombres et de lumière.
Musée et collections Publiques Allemagne
Musée des Beaux Arts, Saarbrücken
Angleterre
Musée d'Eastbourne
Musée d'Eastbourne
Autriche
Musée de l'Albertina, Vienne
Musée de l'Albertina, Vienne
Belgique
Musée des Beaux-Arts, Verviers
Musée des Beaux-Arts, Verviers
Canada
Artothèque de Montréal
Musée d'art Contemporain, Montréal
Musée des Beaux-Arts, Montréal
Bibliothèque de la faculté de droit de l'Université de Sherbrooke, composition, Eau-forte 66/119 (1968)
Artothèque de Montréal
Musée d'art Contemporain, Montréal
Musée des Beaux-Arts, Montréal
Bibliothèque de la faculté de droit de l'Université de Sherbrooke, composition, Eau-forte 66/119 (1968)
Etats-Unis
Librairie du Congrès, Washington, U.S.A Fondation David Bright, U.S.A
Librairie du Congrès, Washington, U.S.A Fondation David Bright, U.S.A
Finlande
Musée de l'Athéneum, Helsinki
France
Musée National d'Art Moderne Centre Georges Pompidou, Paris
Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Paris Bibliothèque Nationale, Paris
Musée Cantini, Marseille
Musée des Beaux-Arts, Nantes
Musée des Augustins, Toulouse
Musée de Clermont-Ferrand
Centre d'Art Contemporain, Paris Bibliothèque Nationale, Paris
Musée des Beaux-Arts, Angers
Musée Pierre André Benoit, Alès Bibliothèque municipale d'Angers
Musée des Beaux Arts, Dunkerque
Frac : Auvergne, Bretagne, Ille de France,
Alpes Provence Côte d’azur Musée français de la carte à jouer,
Issy-les-Moulineaux
Musée des Beaux Arts, Lyon
Musée des Beaux Arts, Martigues
Musée des Augustin, Toulouse
Musée des Beaux Arts, Valence
Musée des Beaux Arts, Verviers
Musée d’Art Contemporain, Villeneuve d’Ascq
Musée de l'Athéneum, Helsinki
France
Musée National d'Art Moderne Centre Georges Pompidou, Paris
Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Paris Bibliothèque Nationale, Paris
Musée Cantini, Marseille
Musée des Beaux-Arts, Nantes
Musée des Augustins, Toulouse
Musée de Clermont-Ferrand
Centre d'Art Contemporain, Paris Bibliothèque Nationale, Paris
Musée des Beaux-Arts, Angers
Musée Pierre André Benoit, Alès Bibliothèque municipale d'Angers
Musée des Beaux Arts, Dunkerque
Frac : Auvergne, Bretagne, Ille de France,
Alpes Provence Côte d’azur Musée français de la carte à jouer,
Issy-les-Moulineaux
Musée des Beaux Arts, Lyon
Musée des Beaux Arts, Martigues
Musée des Augustin, Toulouse
Musée des Beaux Arts, Valence
Musée des Beaux Arts, Verviers
Musée d’Art Contemporain, Villeneuve d’Ascq
République tchèque
Musée National, Prague
Musée National, Prague
Pologne
Musée d'Art Moderne, Cracovie
Un catalogue tout en couleur sera édité à cette occasion Envoyé sur simple demande
GALERIE BERTRAND TROCMEZ 11, rue Philippe Marcombes 63000 Clermont Ferrand
Tél : 04 73 90 97 97 – 06 60 82 59 54 E mail : contact@galerie-trocmez.fr
Musée d'Art Moderne, Cracovie
Un catalogue tout en couleur sera édité à cette occasion Envoyé sur simple demande
GALERIE BERTRAND TROCMEZ 11, rue Philippe Marcombes 63000 Clermont Ferrand
Tél : 04 73 90 97 97 – 06 60 82 59 54 E mail : contact@galerie-trocmez.fr
