Le cholestérol on en mange, on en fabrique...

Votre médecin vous l’a dit calmement mais fermement : « Vous avez trop de cholestérol, il faut le faire baisser. » Vous êtes d’accord, mais comment ? Vous vous souvenez vaguement avoir entendu qu’il fallait éviter le fromage et les œufs, mais pour le reste, c’est le grand flou. Depuis plusieurs années, les scientifiques ont fait de nombreuses découvertes sur les relations entre alimentation et cholestérol. Les résultats de leurs travaux ont permis de comprendre pourquoi les anciens régimes anticholestérol classiques ne fonctionnaient pas, et, surtout, ce qu’il fallait vraiment manger (et éviter ou limiter) pour maîtriser son taux de cholestérol.

Votre médecin vous l’a dit calmement mais fermement : « Vous avez trop de cholestérol, il faut le faire baisser. » Vous êtes d’accord, mais comment ? Vous vous souvenez vaguement avoir entendu qu’il fallait éviter le fromage et les œufs, mais pour le reste, c’est le grand flou. Depuis plusieurs années, les scientifiques ont fait de nombreuses découvertes sur les relations entre alimentation et cholestérol. Les résultats de leurs travaux ont permis de comprendre pourquoi les anciens régimes anticholestérol classiques ne fonctionnaient pas, et, surtout, ce qu’il fallait vraiment manger (et éviter ou limiter) pour maîtriser son taux de cholestérol.

20 % des Français auraient trop de cholestérol, et ce chiffre grimperait à 50 % pour les plus de 50 ans. Selon les époques, on leur a interdit totalement les œufs, les graisses, ainsi que tout produit riche en cholestérol, sans aucun résultat, si ce n’est d’aggraver leur état. Puis l’on a distingué deux types de cholestérol, l’un bon, l’autre mauvais : les consignes alimentaires se sont assouplies, le but n’était plus de pratiquer une chasse impitoyable « au gras » mais de réguler cet équilibre. Aujourd’hui, les recommandations sont encore plus fines. Il convient certes de maîtriser son taux global de cholestérol, mais surtout d’avoir un taux suffisamment élevé de « bon » et d’éviter l’oxydation du « mauvais », en consommant des fruits, des légumes et/ou du thé. Car un cholestérol non oxydé n’est pas (ou moins) dangereux...

Le cholestérol on en mange, on en fabrique, c’est le constituant essentiel de nos parois cellulaires, de certaines hormones. Nous en avons un besoin vital. Mais trop, c’est trop, et surtout, trop de « mauvais » et pas assez de « bon » est un facteur de risque majeur pour la santé. Dans la plupart des cas, une alimentation étudiée (et non un régime), une hygiène de vie correcte (et non drastique) ainsi qu’une maîtrise du poids peuvent faire baisser le taux de cholestérol. C’est facile. Suivez les conseils de ce livre et, que vous suiviez ou non le programme à la lettre, prenez l’habitude de vous préparer de bons petits plats express anticholestérol en piochant parmi nos recettes. Vous en constaterez vous-même l’efficacité lors de votre prochain contrôle sanguin.

Anne Dufour

 

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