Le septénaire du Lion
(28 à 34 ans)
L’homme adulte apparaît, laissant derrière lui son ego. Dans ce septénaire, il devient lui-même, ne voulant plus imiter les autres mais voulant vivre ses propres qualités, ses véritables valeurs intrinsèques. Il porte des projets qui ne se réaliseront que s’il a une ambition saine qui n’a rien à voir avec l’orgueil. Son projet étant de participer à une œuvre sociale, technique, politique, littéraire etc. Dans cette détermination à réussir, il devient enfin adulte car il se sent porté par une mission à accomplir. Ce besoin de faire quelque chose de grand lui vient du cœur. Ce n’est pas le fait d’idées mentales, de réflexions, mais d’un ressenti intérieur, comme un appel auquel il ne peut que répondre.
Dans l’inversion, tout ce qu’il y a de plus noble dans ce sep- ténaire va disparaître au profit d’une place au soleil, ce n’est plus le cœur qui parle mais le mental. La mission disparaît, remplacée par un arrivisme très déterminé et souvent au mépris des autres : tout faire pour arriver à ce que l’on souhaite, quel que soit le prix à payer.Tout opposant devient un ennemi qu’il faut abattre et le Lion a toute la puissance pour cela. Apparaissent alors les grandes pathologies du septénaire du Lion.
Organes et fonctions sensibles :
Le cœur, les yeux, les vertèbres dorsales, la moelle épinière. Le Lion qui convoite déploie des énergies négatives mettant son cœur à rude épreuve avec toutes les conséquences pathologiques qui en découlent (hypertension artérielle, trouble du rythme cardiaque etc.).
Eric Wozniak
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