Marathon de Nantes : soignants et chercheurs se relaient contre les maladies cardiovasculaires

 

8 coureurs de l’institut du thorax participent au Marathon Relais Groupama de Nantes, ce dimanche 17 avril 2016.
Technicienne de laboratoire, infirmière de nuit, directeur de recherche, étudiante, leur diversité est à l’image des 800 collaborateurs qui travaillent à l’institut du thorax. Spécialistes du soin, de l’enseignement et de la recherche, ils œuvrent ensemble pour mieux comprendre et prévenir les maladies cardiovasculaires et prendre en charge ceux qui en souffrent.

Participer à ce marathon en équipe est riche de sens pour ces 8 relayeurs. Si le dépassement de soi et le collectif sont des éléments fondamentaux de leur motivation, ils souhaitent surtout communiquer autour de la prévention et de l’accompagnement des maladies cardiovasculaires, notamment en encourageant la pratique régulière d’une activité physique. Pour Pascale Friou, infirmière, « Faire le point sur son hygiène de vie, bouger et s’alimenter autrement, c’est normal quand on prépare une course. Nous accompagnons nos malades dans des démarches similaires. Chercheurs ou soignants, nous travaillons en équipe pour les patients et nous sommes aussi ensemble dans le défi de ce marathon ! ».

La première équipe est constituée de soi­gnantes des Services de Chirurgie vasculaire et de Cardiologie de l’institut du thorax (CHU de Nantes). Elle rassemble Pascale Friou, Manuella Gand, Stéphanie Moreau et Auré­lie Loriou.
La seconde réunit des personnels de l’Uni­té de recherche de l’institut du thorax (Inserm, CNRS, Université de Nantes) : Agnès Carcouët, Flavien Charpentier, Solène Leroy et Ophélie Tindi­lière.

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L’institut du thorax, c’est :
-7 équipes de recherche de l’Université de Nantes, labellisées Inserm et CNRS
-6 services de soin au CHU de Nantes : cardiologie, pneumologie, endocrinologie, chirurgie cardio-thoracique, unité de transplantation thoracique, chirurgie vasculaire
-2 centres de références nationaux pour les maladies héréditaires du rythme cardiaque et la mucoviscidose
-3 plateformes de haute-technologie pour le séquençage génétique haut-débit, l’exploration fonctionnelle du petit animal et la bioinformatique
-un budget de plus de 10M€/an pour la recherche
-120 publications médicales et scientifiques par an (dont 7% dans le top 1% mondial)
-des experts médicaux choisis par le Ministère de la Santé pour mettre en place des techniques de pointe
-la participation aux implantations du cœur artificiel Carmat
-la fondation d’entreprise Genavie qui soutient les projets audacieux et innovants des équipes de recherche de l’institut du thorax