Quelles peuvent-être les origines de nos maux ?

ORIGINES DE LA MALADIE Elles peuvent être classées en deux catégories : D’abord d’origine d’ordre environnemental, les autres étant inhérentes à l’individu. Souvent les deux se combinent comme une synergie.

ORIGINES DE LA MALADIE
Elles peuvent être classées en deux catégories :
D’abord d’origine d’ordre environnemental, les autres étant inhérentes à l’individu. Souvent les deux se combinent comme une synergie.

a. Comme causes extérieures : d’abord et avant tout la pollution
• Pollution de l’air : par l’industrie chimique qui retombe par la suite sous forme de pluies acides.
• Pollution de l’atmosphère par les ondes de toutes catégories : satellites, ondes hertziennes, etc
• Pollution de proximité : téléphones portables, téléviseurs, ordinateurs, micro-ondes, etc
• Pollution des terrains par les pesticides, insecticides et produits azotés que nous retrouvons dans les eaux et les végétaux de consommation.
• Pollution des animaux par les antibiotiques et les hormones que nous retrouvons dans la « malbouffe ».
• Les êtres humains reçoivent aussi l’intoxication de la publicité et de la fausse information. Nous sommes des clonés par l’information.

Chacun devient tellement conditionné, qu’il n’est plus apte à penser par lui-même et perd toute capacité de discernement. Ceci conduit l’être humain à accepter l’inacceptable.

b. Pour envisager les causes inhérentes à l’individu
Il nous faut admettre que chacun a son propre fonctionnement, qu’il est fait de son passé très personnel et que la conduite face à l’agressivité existentielle va se faire avec des émotions qui lui seront personnelles.

Il suffira que ces émotions soient intenses ou répétitives pour engendrer des dérèglements glandulaires, eux-mêmes générateurs de disfonctionnements d’organes et nous avons là l’apparition des premiers maux.

Ces troubles peuvent être corrigés par les vitamines, les oligoéléments et les acides gras essentiels (voir ultérieurement comment garder l’équilibre du système glandulaire).

Comprendre l’état de santé 25
• Quels constats faisons-nous à travers les sociétés ?
– Le paradoxe français, c’est que malgré les pollutions et la malbouffe nous vi- vons de plus en plus longtemps.
– Il y a moins de cancers et d’athérosclérose dans le sud de la France, on a donc cherché à étudier les mérites du régime méditerranéen, voire crétois.
– Il y a plus de cancers et d’accidents cardiovasculaires dans le Nord : est-ce la nourriture, le climat, la pollution industrielle ?
– Il y a moins d’accidents cardiovasculaires dans le Gers, le sud des Landes, l’Armagnac où la cuisine est à base de graisse de canard.
– Sur un plan national, nous sommes passés, en une vingtaine d’années, de 8 à 25 % d’obèses et de diabétiques par l’excès de glucides alimentaires.
Il faut savoir qu’en réalité l’homme est génétiquement programmé pour vivre jusqu’à 120 ans.
– Dans une des vallées tibétaines, les Hunzas vivent jusqu’à 110-120 ans. Ils mangent uniquement des céréales et les jeunes pousses végétales, et aucune protéine animale.
– Les Équatoriens de la région de Vilcabamba vivent en grand nombre jusqu’à 120 ans. Ils sont à 1 300 m d’altitude, à une température constante de 23 °C, sur une terre volcanique riche en oligoéléments et en vibrations magnétiques. Ces conditions idéales sont non-stressantes pour le système cardiovasculaire. La nourriture végétale est à portée de main : bananes, ananas, papaye, goyaves, café sauvage... : les conditions de vie paraissent faciles...
Dans ces deux derniers cas de vie longue, nous sommes dans des conditions d’existence extrêmes et opposées.

 

Guy Avril

 

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