État des lieux de la médecine actuelle

Depuis ces dernières décennies, la chirurgie a fait de véritables progrès techniques et les prouesses réalisées de nos jours en sont la preuve. À l’inverse, la médecine classique officielle n’apporte pas de réponse véritable aux maladies. Se bornant à traiter uniquement les symptômes, elle ne s’attaque pas aux causes réelles des maladies, et ainsi elle entretient le mal et laisse l’être humain dans sa mauvaise habitude d’être malade : ce qui est le contraire de guérir. Souvent, les thérapies proposées sont elles-mêmes génératrices de troubles, c’est ce qu’on appelle les pathologies iatrogènes.

Depuis ces dernières décennies, la chirurgie a fait de véritables progrès techniques et les prouesses réalisées de nos jours en sont la preuve. À l’inverse, la médecine classique officielle n’apporte pas de réponse véritable aux maladies. Se bornant à traiter uniquement les symptômes, elle ne s’attaque pas aux causes réelles des maladies, et ainsi elle entretient le mal et laisse l’être humain dans sa mauvaise habitude d’être malade : ce qui est le contraire de guérir. Souvent, les thérapies proposées sont elles-mêmes génératrices de troubles, c’est ce qu’on appelle les pathologies iatrogènes.

Considérons quelques domaines :
• La vaccination, qui se veut préventive des maladies, a son lot de conséquences dramatiques. Le vaccin de l’Hépatite B a entraîné de nombreuses dégénérescences de la moelle épinière avec paraplégie chez les enfants, des cancers rénaux chez d’autres, ceci étant attribué au support du vaccin.

Le vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole) a lui aussi entraîné des séries de cas d’autisme.

En réalité, ce n’est pas le principe de la vaccination pasteurienne qui est mis en cause, mais les supports utilisés. Certains contiennent des sels d’aluminium pouvant engendrer des troubles mentaux... La synthèse d’ADN viral peut aussi être en cause.

• Les antibiotiques qui, depuis plus d’une dizaine d’années, offrent de moins en moins d’efficacité face aux bactéries, n’ont jamais été actifs sur les virus et ont souvent favorisé les mycoses. (Voir travaux récents du 42e congrès sur les agents antimicrobiens : ICAA.)

• Les anti-inflammatoires créant des ulcérations à tous les niveaux du tube digestif ne peuvent soulager en conséquence que peu de temps, et en toute situation ne peuvent apporter une guérison.
• Les anti-cancéreux destructeurs des cellules malades, mais aussi des cellules saines, font perdre une grande partie de l’immunité du sujet, qui terminera le plus souvent sa vie plus vite, dans des souffrances indescriptibles. Le coût d’une chimiothérapie varie de 3 800 € à 6 100 € par jour, à titre indicatif. Bien sûr, ces thérapies ont un certain pourcentage de succès, mais de nombreux facteurs doivent être pris en considération pour l’évaluation des résultats.

• Les anti-dépresseurs et les anxiolytiques qui, donnés en trop grande fréquence, en trop grande quantité, et pas toujours à bon escient, sont reconnus être à l’origine d’un grand nombre de démences séniles comme la maladie d’Alzheimer.

Rappelons que la France est, de loin, le premier consommateur d’anxiolytiques en Europe. Pas étonnant si les maisons de retraite doivent se spécialiser pour accueillir les démences séniles.

Ces mêmes antidépresseurs peuvent être vecteurs de suicides ou d’attitudes suicidaires. Le tueur du conseil municipal de Nanterre prenait du Prozac antidépresseur surnommé « Pilule du Bonheur ».

• La thérapie hormonale : une récente étude américaine sur le traitement chimique hormonal substitutif de la ménopause (TSH) indique que celui-ci présente plus de risques que d’avantages. Un signe du danger : cette étude, prévue sur dix ans, a dû être interrompue dès la cinquième année, en raison des risques qu’elle pouvait faire courir aux sujets testés.

Malgré les mises en garde du professeur Joyeux de Montpellier, « depuis 8 ans, il y aurait une augmentation de 60 % du cancer du sein, de 40 % du cancer des ovaires et de l’utérus. »

Ceci est dû aux hormones prescrites à tous les âges de la vie de la femme. Malgré cela, le traitement hormonal est prescrit sous différentes formes, depuis bientôt 30 ans par les gynécologues, sans regard critique, voire scientifique sur le traitement.

• À propos de la thérapie génique sur laquelle travaillent des dizaines d’équipes de chercheurs depuis 10 ans c’est le même constat.

En France, un bébé soigné par cette nouvelle technique génique avait développé une maladie proche du cancer du sang. Les autorités sanitaires américaines ont suspendu tous les programmes de thérapie génique contre le déficit immunitaire mortel. En Allemagne, l’ordre des médecins a décidé de suspendre jusqu’à nouvel ordre les essais de thérapie génique réalisés sur les patients avec rétrovirus, utilisés comme vecteurs de « gène soigneur », en cause dans l’échec français. On se souvient que cet essai mené en France avait été présenté à l’époque comme la première réussite de thérapie par « gène-médicament ». La désillusion génique est donc totale...

 

Guy Avril

 

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 Encyclopedie des thérapies naturelles