Le gui pour traiter l'hypertension artérielle

Le gui appartient à la famille des loranthacées. C’est apparemment une plante « parasite » puisqu’elle se nourrit en grande partie de la sève de l’arbre porteur.

Gui - Viscum album

Le gui appartient à la famille des loranthacées. C’est apparemment une plante « parasite » puisqu’elle se nourrit en grande partie de la sève de l’arbre porteur.

Il pousse sur un grand nombre d’arbres : acacia, aubépinier, bouleau, chêne, peuplier, poirier, pommier, sapin, etc.

Mais, par des études poussées, nous avons pu déterminer que le gui du chêne, d’aubépine et de pommier ont des qualités curatives exceptionnelles. Le gui contient de la choline, de la viscalbine, de la viscofla- vine, de l’acétylcholine, de l’inosite, de la mannite, de la saponine, des acides, de la vitamine C et de la résine.

Le gui est, notamment, un cardiotonique puissant, donc à utiliser avec la plus grande prudence en raison de la « viscotoxine » qu’il contient et qui peut paralyser le système nerveux.

À titre indicatif, voici une recette simple à réaliser qui vous aidera à lutter contre l’hypertension artérielle : laisser infuser, pendant quinze minutes, 37 g de feuilles de gui dans un litre d’eau bouillante.

En boire trois tasses à thé par jour en dehors des repas.
Mais la « viscotoxine » contient 46 acides aminés et son action est particulièrement efficace en cas de troubles cardiaques, d’hypertension artérielle.

 

Dr René Bouchet

 

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