Magnétisme : LES GLANDES HORMONALES OU CHAKRAS

Magnétisme : LES GLANDES HORMONALES OU CHAKRAS

© Editions Trajectoire


| Relation entre chakras et glandes
Élaborée depuis des millénaires (en Inde), la science des chakras serait la traduction imagée d’une réalité neurologique perçue de manière totalement empirique et intuitive par les yogis indiens.
Les correspondances sont d’autant plus troublantes que les chakras sont considérés comme des « roues » (traduction du sanscrit) transformant et redistribuant l’énergie vitale et agissant sur différents organes et tissus immunitaires.

Par ailleurs, et en relation avec le sujet principal de ce livre de par le rôle que joue l’électricité du corps, il est intéressant de savoir que la majorité des hormones se déclenchent par l’intermédiaire d’un « petit signal électrique ».
En fonction des besoins du corps, selon qu’il y ait trop ou pas assez de sécrétions hormonales pour assurer les fonctions physiologiques du corps, un petit signal électrique est déclenché via le système nerveux central, soit pour augmenter la sécrétion hormonale, soit pour la diminuer.
Cette réalité « électrique » des hormones pourrait bien expliquer le rôle de régulation des magnétiseurs sur les fonctions physiologiques du corps.

En effet, il est constaté depuis des siècles l’action rééquilibrante du magnétisme sur les corps. Cette régulation pourrait bien être due au potentiel électrique des mains qui assurerait ainsi une physiologie hormonale22 générale bien régulée.
22. Lire à ce sujet l’étude des correspondances des méthodes thérapeutiques ancestrales et des analogies avec la médecine allopathique occidentale dans le livre du Dr Thierry Janssen, La Solution intérieure, Pocket, 2011.

Les 7 chakras correspondent à 7 zones, 7 « plexus » où se mêlent les innervations du système sympathique et parasympathique.
Moyen mnémotechnique : Cerveau droit = sympathique, qui peut être comparé à un accélérateur de la voiture et qui est responsable du stress ; le cerveau gauche correspond au système parasympathique pouvant être associé au frein d’une voiture et qui produit de l’apaisement en favorisant la production de l’hormone ocytocine, elle-même responsable du bien-être.
Voyons maintenant le premier chakra, son rôle et ses fonctions, et les rapports qu’il entretient avec les hormones.

Mémento de la position des mains
Chargement et dégagement : traditionnellement, les passes de chargement s’effectuent en début de séance pour compenser et rééquilibrer les déséquilibres du corps du malade, tandis que les passes de dégagement se font en fin de séance pour dissiper les effets de somnolence qu’induisent les passes de traitement sur le patient.
Il y a donc une différence technique, les passes de chargement s’effectuant verticalement, et les passes de dégagement s’effectuant transversalement.
Les passes saturantes : ce sont des passes longitudinales à petit ou grand courant qui s’effectuent lentement pour charger en magnétisme le patient.
Application et imposition : le terme est apparu en 1835 dans la langue française. Les points communs des passes en « application et en imposition » : elles s’effectuent normalement en statique et sont utilisées pour leur effet calmant.
Les impositions digitales : également appelées doigts en pointe, doigts en faisceau, ou doigts en tripode. Lorsqu’elles s’effectuent avec un simple mouvement circulaire de la main, elles sont dites « circulaires » (imposition digitale circulaire) ; elles sont dites « perforantes » (imposition digitale perforante) si elles s’accompagnent d’un grand mouvement circulaire du bras (épaule, coude, poignet). Elles émettent de l’énergie en profondeur et ont un effet stimulant excitant. Elles sont par exemple à utiliser en cas d’hypoactivité et de carence d’un organe (un manque de fer dans l’organisme invitera le magnétiseur à agir en profondeur sur le foie avec les doigts en faisceau sur l’organe, pour que celui-ci puisse mieux fixer le fer en provenance de l’alimentation, ainsi que sur la vésicule biliaire où le sang est purifié, nettoyé).
Passe dynamisante : ces passes produisent un effet de stimulation dans l’organisme (très efficace pour des personnes présentant des états de fatigue ou ayant le sentiment d’une baisse de forme caractérisée). Elles s’effectuent à une distance comprise entre 10 et 15 cm environ. La vitesse d’exécution doit être rapide, en16 secondes de la tête aux pieds (soit 8 secondes de la tête aux hanches et 8 secondes des hanches aux pieds).

Passe dite « saturante » dont le rôle est d’effectuer un apport d’énergie, faisant défaut dans le corps du « receveur » lors d’une maladie ou d’une fatigue (en général à effectuer en début de séance en effectuant un « balayage » de la tête aux pieds). La vitesse d’exécution doit être lente (30 secondes de la tête aux pieds, soit 15 secondes de la tête aux hanches et 15 secondes des hanches aux pieds). La distance des mains par rapport au corps doit être comprise entre 30 et 40 cm, donc plus que pour les passes dites « dynamisantes ».
Passe « apaisante » : ces passes produisent une sensation de calme, d’apaisement dans l’organisme ainsi qu’au niveau du système nerveux (à conseiller pour les personnes anxieuses et stressées. L’effet d’apaisement se fait ressentir dès les premières minutes. Elles sont à effectuer soit en « statique » sur une zone du corps (le front par exemple) soit en mouvement très lent à effectuer toujours de « haut en bas » sur toute la longueur du corps, en 30 secondes).

Passe « concentrante » : cette technique de passe a pour but de diffuser l’énergie de manière intense sur une zone (comme lorsque vous pincez un tuyau dans lequel l’eau s’écoule, dont le jet devient alors plus fin et la propulsion plus rapide), afin de produire un effet curatif puissant pour traiter une verrue ou un zona, par exemple. C’est le cas des passes dites en « tripode » ou également nommées en « projection digitale » qui s’effec- tuent avec le pouce, l’index et le majeur rapprochés, dirigés sur la zone à traiter, par exemple pour une verrue.

Passes perforantes : ces passes sont effectuées à partir d’une technique du mouvement rotatif du poignet (paume ouverte ou doigt en tripode) ou alors accompagnées du mouvement de l’épaule, en effectuant des cercles concentriques éloignés et en se rapprochant rapidement du point à traiter.
L’effet de ces passes augmente puissamment la dynamique énergétique, car le mouvement de rotation introduit une dynamique énergétique supplémentaire. Cela peut produire de légers vertiges sur des personnes très sensibles. La raison en est que l’augmentation du flux de l’électricité qui s’échappe de vos doigts va agir sur l’ensemble des fibres nerveuses du corps humain en les stimulant – tout comme en auriculothérapie, dont le principe repose sur le rétablissement des différentiels de potentiel mesurés en microvolts sur certains points de l’oreille dont le différentiel traduit précisément un dysfonctionnement sur un organe, ou une glande, ou le système osseux. Ce dys- fonctionnement sera rétabli par un apport extérieur d’électricité ou par l’implantation d’aiguilles qui vont rétablir le différentiel électrique et guérir ainsi la zone de lésion.

Je précise ici que cette réalité des dommages biologiques qui se traduisent par des signaux électriques perturbés de l’ordre de quelques microvolts uniquement sur certaines zones du corps a été validée scientifiquement, et approuvée par l’Organisation mondiale de la santé.

 

Arnault RICHARD de CHICOURT

 

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