Les bienfaits de l'argile pour votre santé

Les argiles de santé ont des compositions chimiques fort variables qui permettent des applications thérapeutiques particulières. Autrement dit, il existe des crus d’argile possédant chacun des qualités spécifiques que le véritable spécialiste exploite à bon escient, alors que les incompétents ont tendance à s’en servir sans discernement, ce qui les conduit à des échecs préjudiciables pour leurs clients.

Les pourcentages atomiques n’interviennent pas seuls dans les vertus de chaque argile. Ses structures physiques jouent un rôle tout aussi important puisqu’elles conditionnent les phénomènes d’adsorption, donc de surface, et les phénomènes d’absorption, surtout en présence d’eau de qualité.
Par conséquent, chacune agit par ses pouvoirs physicochimiques que déterminent des positions électroniques. Par exemple, gràce à ces dernières, elle adsorbe et absorbe les poisons, les toxines et les microbes que l’épiderme fatigué ne parvient plus à éliminer.

Entre autres effets bénéfiques, elle corrige et même modifie l’état électrique de ce dernier, bouleversé par les savons de mauvaise qualité, souvent trop basiques, par les eaux chlorées ou dures, par les pollutions aériennes et particulièrement par les électropollutions si redoutables pour la santé.
Enfin, elle abandonne par lente diffusion des traces actives d’oligo-éléments, véritables catalyseurs du biochimisme, qui minéralisent, qui dynamisent l’organisme dans ses épiphases et même parfois en profondeur relative.

Tant de qualités spécifiques ne restent valables que si les argiles sont utilisées à froid et préparées avec toutes les précautions que recommande André Passebecq et avec une eau peu minéralisée et non chlorée.

Si leurs usages externes paraissent assez généraux, au con- traire, leurs usages internes restent limités à des cas particuliers, car le tube digestif du civilisé, soumis de longue date aux erreurs alimentaires et médicamenteuses, est très susceptible et peu apte, par exemple, à se défendre contre certaines impuretés, fréquentes dans des argiles chimiquement peu homogènes, et contre des configurations électroniques trop actives.

En conclusion, soyons reconnaissants à l’auteur de ses nombreuses mises en garde, de ses conseils pratiques et, par-dessus tout, de l’abondance des applications précisées avec tant de clarté, qui vont permettre, même aux « non-spécialistes », de se servir sans difficulté opératoire – et toujours efficacement – des argiles de qualité, donc rigoureusement exemptes d’atomes toxiques.

PROFESSEUR RAYMOND LAUTIÉ Docteur ès sciences


                                                                              

Si cet extrait vous a intéressé,
vous pouvez en lire plus
en cliquant sur l'icone ci-dessous 

L'argile pour votre santé