L'homéopathie pratique

 

Cet ouvrage est avant tout un résumé fait pour donner rapidement le renseignement recherché sur un médicament déterminé, ou sur ce qu'il convient de faire dans tel ou tel cas. Son but est avant tout d'être pratique et de ne pas égarer le lecteur dans des détails. Ainsi, se dégage à travers cet ouvrage la ou les indications thérapeutiques majeures de chaque remède, choisi parmi les plus usuels, et faciliter la tâche du praticien ou du malade qui désirent un renseignement rapide, clair et précis.


Extrait du livre :

IBERIS AMARA
L’Ibéris. Cruciféracées.
Tachycardie essentielle paroxystique (en TM).

IGNATIA
La Fève de St Ignare ou lamara.
C’est un calmant des nerfs, en particulier chez les gens nerveux, inconstants et contradictoires.
« Tout est paradoxal dans Ignatia ».
Mais c’est surtout un médicament féminin, indiqué dans les troubles nerveux de la ménopause : humeur changeante, mélancolie, neurasthénie, émotivité exagérée, alternances inconsidérées de rire et de larmes.
Le plus souvent, il s’agit de femmes blondes, grasses, apathiques, mélancoliques...
« Le soupir d’Ignatia, le clou d’Ignatia, la boule ésophagienne d’Ignatia, les palpitations d’Ignatia, les migraines menstruelles d’Ignatia, les douleurs am- bulatoires d’Ignatia, les digestions paradoxales d’Ignatia (un repas de régime serait soi-disant mal toléré, et un repas pantagruélique passe tout seul), l’hy térie d’Ignatia... »
On donne aussi Ignatia dans des cas vagues et sans lésions étiologiques, et quand il y a inaction des autres remèdes (Bromum).
Incontinence d’urine nocturne des jeunes filles aux règles fortes et abondantes.
« Ignatia est le remède des émotions perturbatrices des femmes, comme Gelsemium est celui des hommes. » (Dr. Borianne). La distraction améliore tou- jours les troubles d’Ignatia (Helonias).

ILLICIUM
L’anis étoilé ou Badiane (Magnolacées).
Il traite les névralgies intercostales, en particulier la douleur dans la région de la 3e côte droite, à 1 ou 2 pouces du sternum.

INDIGO
Genre de légumineuse papilionacée dont on extrait une matière colorante bleue : l’Indigo des Indes.
Indigo traite la dysménorrhée, et les brûlures des seins pendant les règles.

INDOLUM
Constipation.

INFLUENZINUM
Nosode biothérapique de la grippe.
C’est le remède des épidémies de grippe.
Chiron et Charette l’emploient à hautes dilutions pour faire apparaître les quintes de la coqueluche, quand la toux la fait suspecter.

INSULINUM
L’Insuline.
Le médicament de l’Hypoglycémie.
On l’emploie à la 5e CH : 2 g tous les jours, et au moment des accidents dus à une baisse notable du taux du sucre sanguin : malaises vagues, vertiges, sueurs, vision floue pouvant même aller jusqu’à l’amaurose transitoire, crampes digestives avec sensation de faim, spasmes musculaires, pouvant même, si on ne réalimente pas rapidement le malade, aboutir à une sorte de coma hypoglycémique, plus ou moins complet, avec réflexes vifs.

Tous ces symptômes disparaissent avec Insulinum et l’absorption de sucre per os ou sous forme de sérum intraveineux glucosé hypertonique.
On reconnaît ces malades au fait qu’ils ont toujours du sucre dans leurs poches, afin d’en absorber au moindre malaise, qu’ils connaissent bien.

INULA HELENIUM
La grande aune.
Elle stimule les sécrétions pulmonaires, gastriques et intestinales.
On l’emploie comme stimulant de l’appétit et de la digestion ; dans les bronchites catarrhales ; dans les dysménorrhées et l’aménorrhée, le prolapsus de l’utérus ; dans les ictères, congestion portale, hémorroïdes, hypertension ; contre les oxyures et les ascaris.
En usage externe : contre le prurit, la gale, les eczémas secs qui traînent.

IODUM
L’iode, métalloïde.
C’est le remède par excellence de la glande thyroïde et de la maigreur des gens qui dévorent sans grossir (Natrum muriaticum).
Tous les engorgements ganglionnaires et glandulaires sont améliorés par lodum, surtout s’il s’agit de sujets maigres, inquiets, toujours agités et préoccupés, et qui ont toujours faim et toujours trop chaud.
lodum traite aussi l’amaigrissement des tuberculeux, l’artériosclérose, l’asthme précédé d’un coryza spasmodique, l’enrouement avec toux rauque ou pseudo- croup, les enfants maigres avec adénopathie trachéobronchique.
Mais, l’indication majeure de lodum, c’est la maladie de Basedow, avec sa cachexie, son tremblement, son exophtalmie et sa tachycardie avec palpitations. lodum est indiqué aussi dans les leucorrhées irritantes, les diarrhées matinales et post-prandiales des gros mangeurs maigres, l’hypertrophie du cœur, l’albuminurie, la surdité catarrhale chronique, alors que la surdité catarrhale récente relève de Pulsatilla, et toutes deux de Kali mur.
Enfin lodum fait grossir les seins et les testicules, alors que Thyroïdea les fait maigrir.
Les nausées et les vomissements post-chloroformiques sont améliorés par lo- dum (2 g d’lodum 4 : 10’ avant l’anesthésie).

IPECA
Racine vomitive du Radix Brésiliensis, d’où l’on extrait l’émétine.
C’est le médicament par excellence des nausées et des vomissements, à lan- gue propre, quelle qu’en soit l’origine (polygonatum).
C’est aussi un remède des hémorragies et de la toux sèche spasmodique avec nausées, vomissements et oppression (Ipeca fluidifie les sécrétions bronchiques et aide à leur expectoration).
D’où ses indications : asthme sec, coqueluche, broncho-pneumonie, etc. Dans la crise d’asthme : Ipeca, Sambucus et Moschus à la 4e CH : 2 g toutes les 10’, donnent d’excellents résultats et suffisent souvent à juguler la crise.
On conseille aussi Ipeca dans l’aphonie après refroidissement, les hémoptysies de sang rouge avec état nauséeux, les hémathémèses, les règles trop abondantes, les diarrhées automnales et printanières (diarrhée des fruits verts), les diarrhées avec sang dans les selles (Arsenic).
De plus, Ipeca calme les nausées et les vomissements de la grossesse, les conjonctivites et les kératites avec photophobie (Apis).

IRIS MINOR
L’iris d’Amérique.
C’est le médicament qui favorise les cicatrisations normales et qui évite les adhérences post-opératoires.

IRIS VERSICOLOR
Le Glaïeul bleu.
Il s’adresse aux dyspepsies acides et aux brûlures digestives : « tous les aliments paraissent se transformer en vinaigre » (Robinia, Muriatic acid, Mg. carb.). Vomissements et diarrhées acides.

 

Les médecins américains l’utilisent comme émétique, purgatif et cholagogue ; dans les angiospasmes hémicrâniens et les affections du pancréas (céphalées et migraines périodiques d’origine digestive avec vomissements de bile ; névralgies d’origine hépatique ; insuffisance pancréatique ; diabète). Iris Versicolor traite avec succès certains rhumatismes avec douleurs piquantes périodiques, la névralgie sus-orbitaire droite de 10 h du matin, la migraine ophtalmique, et certaines douleurs croisées (épaule droite et hanche gauche). Certaines éruptions irritantes (pustules, vésicules).
C’est aussi un tonique de l’œil, en particulier de l’accommodation à la distance (myopie).
Particularités : Les malades relevant d’Iris versicolor présentent une périodicité nette, et sont aggravés par le mouvement, le grand air, les repas, et calmés par le repos, le calme, le sommeil dans une chambre chaude (comme Cocculus) (au contraire : Magnesia mur. et Rhus tox. sont améliorés par le mouvement). Quant à Bryone, il est agravé par le mouvement et par la chaleur.



JABORANDI
Le Pilocarpus jaborandi du Brésil, d’où l’on extrait la pilocarpine (remède local du glaucome).
Le Jaborandi est indiqué comme antisudoral et antianaphylactique ainsi que dans l’hypersalivation.
Le collyre à la pilocarpine est myotique et hypotenseur de l’œil. La dilution varie de 1 % à 5 %, véritables dosages homéopathiques (comme l’adrénaline 1/1 000°).

JALAP TUBEREUX
Jalapa.
Coliques et diarrhées, en particulier la nuit et chez les enfants. (Colocynthis, Rhéum.)

JUGLANS CINEREA
Le noyer d’Amérique.
Troubles hépatiques et jaunisse, souvent associés avec des migraines occipitales et du prurit du cuir chevelu.
« Un des meilleurs remèdes de la migraine occipitale » (Dr Borianne).

JUGLANS REGIA
Le noyer d’Europe est astringent, dépuratif, tonique, stimulant, antiglycémique et antituberculeux.
Les bourgeons de Juglans regia I°X sont anti-infectieux : ils augmentent le taux des anticorps microbiens et des antitoxines, et sont particulièrement efficaces à l’égard des staphylocoques et des streptocoques (adénopathies, lymphatisme).

Ils favorisent la cicatrisation des ulcères variqueux, associés avec Sorbus et Castanea en bourgeons à la I°X ; et des suppurations diverses (acné, gourme, comédons...).

On les conseille :
− dans tous les états infectieux cutanés : eczémas infectés, impétigo ; (Dr Tétau),
− dans les bronchites chroniques avec poussées thermiques,
− dans la tuberculose pulmonaire, où ils favorisent la restauration des tissus,
− dans la chlorose et la scrofulose, cataractes séniles.

JUNIPERUS COMMUNIS
Le genévrier. Cupressacées.
Les bourgeons de Juniperus I°X sont indiqués dans la grande insuffisance hépatique et les syndromes cirrhotiques. Ils sont de plus diurétiques, comme Fagus sylv. I°X.
Inflammations hépatiques et rénales, cholécystites, pyélonéphrites chroniques, oligurie, œdèmes, ascites...
La TM de baies de Juniperus a une action diurétique, antiseptique, tonique, stomachique, sudorifique, dépurative et anti-rhumatismale. De plus, elle stimule les fonctions excrétoires de tout l’organisme. On la conseille dans l’hydropisie, surtout celle des artérioscléreux, l’anurie, l’albuminurie, la lithiase rénale, la goutte, les eczémas suintants, le pyrosis.

OBÉSITÉ
Excès de masse adipeuse répartie de façon généralisée dans les diverses zo- nes grasses de l’organisme qui peut entraîner de graves inconvénients pour la santé.
Anacardium, Ant’hypophyse, Antimonium cr., Fucus TM, Graphites, Natrum sulfur., Nux vomica, Orchitinum, Ovarinum, Phytolacca TM., Sulfur, Thuya + Hypothalamus 9 : 3 suppos.itoires par semaine, pour couper l’appétit.

OBSESSION
Idée qui s’impose fortement à l’esprit; idée fixe, hantise, manie.
Anacardium, Argent nitr., Bufo, Moschus, Murex, Origanum, Platina, Staphysagria, Sumbul, Thuya, Stramonium.

OCCLUSION INTESTINALE
Fermeture, oblitération, obstruction.
Alumina, Colocynthis, Nux vomica, Opium, Plumbum 9, et opérer.
ODORAT (perte de I’)
Alumina, Kali bich., Kali iod., Lemma, Mag. mur., Natr. carb.

ODORAT PERVERTI ET FAUSSE
Graphites et Sanguinaria.

ŒDÈME
Gonflement pathologique diffus touchant divers tissus ou organes par infiltration séreuse.
Acetic acid (œdèmes blancs et indolores des membres inférieurs), Allium capa, Apis, Apocynum (œdèmes cardio-rénaux, comme Adonis), Ars. alb., Cantharis, Convallaria, Cratægus, Digitalis, Fagus, Helleborus, Juniperus, Oxydendron, Prunus spinosa, Scilla, Strophantus, Uva ursi, Rosmarinus, Sambucus, Urtica, Serum equi + dans certains cas : régime déchloruré.
Voir Diurétiques et Anurie.
Cardiaque : Adonis, Apocynum, Cratægus, Digitalis, Leonorus, Syringa.
De la glotte, de Quincke : Aconit, Apis, Ars. alb., Histamin, Kali iod., Serum equi., Urtica urens, Sambucus, Spongia (toux rauque). Manganèse 4 CH : 2 à 3 IM par semaine.
Voir Allergie.
Aigu du poumon : Ammonium carb., Antimon. tartar., Ars. alb., Bryone, Carbo veg., Digitalis TM, Gelsemium, Hydrocyanic acid, Kali iod., Peyotl TM, Phosphorus et Phosphorus triiod. + saignée d’urgence.
Rénal: Voir Anurie, Oligurie, Diurétiques, Insuffisance rénale.
Benzoic acid, Betula, Berberis, Cantharis, Fagus, Juniperus, Piloselle, Quercus, Sarsap. + Nephrine 4 (3 suppos. par semaine).

ŒSOPHAGE (spasmes de l’)
Alumina, Arnica, Ars. alb., Baptisia, Belladonna, Cajaputum, Capsicum, Cantharis, Cicuta vir., Colocynthis, Condurango, Cuprum acetic, Dioscorea, Hydrocyanic acid, Ignatia, Laurocerasus, Nitri acid, Plumbum, Stramonium, Thiosinaminum, Veratrum vir., Kali carb.
Atonie de l’œsophage : Causticum.
Varices de l’œsophage : Aesculus, Asarum, Bellis per., Ethylicum, Hamame- lis, Sulfuric acid., Vipera.
Corps étrangers de l’œsophage : Arnica, Sédatif PC.

ŒIL (troubles de)
Voir Conjonctivite, Dacryocystite, Photophobie, Kératite, Rétinite, Yeux. « Beurre noir » : Arnica montana, Ledum palustre.
Fatigue : Paris quadrifolia.
Rouge : Jaborandi, Paris quadrifolia, Ruta graveolens.
Sec : Alumina, Belladonna, Bryonia, Magnesia caronica, nux moschata. OLIGURIE
Raréfaction du volume des urines chez un individu.
Voir Œdèmes et Anurie.
Piloselle + Scilla en TM : 30 gouttes 3 fois par jour. Tisane de Genêt.

OMOPLATE (point douloureux à l’)
Droite : Chelidonium, Mg. ph., Podophylum, Ranunculus bulb., Sanguinaria.
Gauche : Cactus, Chenopodii aphis glauci, Leptandra, Myrica, Oxalic acid, Spigelia, Sulfur, Myrtus.

ONGLES
Deuxième partie : Lexique thérapeutique • 301
Arrachés : Arnica montana, Hypericum perforatum.
Incarnés : comme abcès + Myristica sebifera.
Déformés: Fluoric acid, Teucrium, Ustillago, Silicea, Thuya, Antimon. or., Anantherum, Luesinum, Psorinum, Tuberculinum, Teucrium (orteils). Cassants: Fluoric acid.
Durs: Antimon. crud.
Mous: Fluoric acid, Thuya.
Douloureux: Allium cepa, Hypericum.
Onychophagie: Ammonium br., Baryta carb.
Tourniole : Ars. alb., Hepar sulfur, Myristica, Naphtalinum, Pyrogenium.

OPÉRATION CHIRURGICALE
Préparation: Arnica, Bothrops, China, Hypericum, Phosphorus (triiod.), Strontium carb., Pyrogenium, Sédatif PC, Staphysagria.
Si appréhension : Aconit, Gelsemium, lgnatia.
Suites immédiates : Calcarea fluor, Colocynthis, Hypericum, Ipeca, iris minor, et les précédents.
Suites tardives : adhérences : Iris minor, Silicea, Thiosinaminum.

ORCHITE
Inflammation du testicule.
Aurum, Belladonna, Clematis erecta, Fer ph., Hamamelis, Medorrhinum, Mer- cure corr., Pulsatilla, Pyrogenium, Rhododendron, Staphysagria.

OREILLONS
Maladie infectieuse et contagieuse caractérisée par une inflammation et un gonflement des glandes parotides.
Arsenic alb., Belladonna, Conium, Fer ph., Gelsemium, Jaborandi, Mercure cyan. et sol., Phytolacca, Pulsatilla, Pyrogenium, Thuya, Hamamelis (si menace d’orchite).
Si menace de méningite : Gelsemium, Jaborandi.

ORGELET
Petite inflammation purulente sur le bord des paupières, de la grosseur d’un grain d’orge.
Apis, Arsenic alb., Hepar sulfur, Kali iod., Phosphorus, Pulsatilla, Pyrogenium, Staphysagria.
OSGOOD-SCHLATTER (maladie d’)
Affection douloureuse bénigne du genou des adolescents sportifs. Angustura vera, Calcarea fluorica.

OSTÉITE
Inflammation de l’os.
Calcarea carb., Fluor et Ph., Cor. rub., Fluoric acid., Hekla lava, Mezereum, Naja, Nitri acid., Pyrogenium, Silicea, Symphytum.
Syphilitique: Argent nitr., Asa foetida, Aurum met. et iod., Fluoric acid, Kali iod., Luesinum, Mercure corr., Mezereum, Nitri acid, Phytolacca, Sarsaparilla, Sassafras, Staphysagria.
Tuberculeuse: Aestus, Ars. iod., Arum tr., Calcarea carb., Fluor et Phosph., Drosera, Natrum mur., Phosphor. triiod., Pulsatilla, Rhus tox., Silicea, Sulfur iod., Tuberculinum.

OSTÉOPÉNIE
État intermédiaire entre une densité osseuse normale et l’ostéoporose. Silicea, vitamine D, Calcium.

OSTÉPHYTOSE
Prolifération anormale de tissu osseux près d’articulations malades ou de sur- faces osseuses enflammées.
Hekla lava.

OSTÉOPOROSE
Perte progressive de la masse osseuse.
Bourgeons d’Abies pect., Corylus, Quercus, Rubus, Séquioa, Vaccimum ââ I°X + Equisetum TM, Calcarea carb., Fluor et Phosph., Fluoric acid., Hekla lava, Phosphorus triiod., Selenium, Silicea, Corail, Rub., Cortico-surrénale et parathyroïdinum.

OTALGIE
Douleur à l’oreille.
Aconit, Arnica, Aurum, Chamomilla, Kalmia, Magn. ph., Manganum, Plantago, Sédatif PC, Verbascum.

OTITE
Inflammation chronique ou aiguë de l’oreille.
Externes : voir Furoncle.
Moyennes et internes :
− aiguës : Antibiothérapie (si en 2 ou 3 jours l’otite n’est pas améliorée par l’homéopathie), Arsenic. alb., Aurum met., Belladonna, Capsicum, Chamomilla, Eupatorium, Euphorbia, Fer ph., Naja, Oscillococcinum, Pyrogenium.
− chroniques : ajouter : Calendula, Ecchinacea, Elaps cor., Fluoric acid, Hg., Kali sulf., Nitr. acid, Psorinum, Phytolacca, Silicea, Sulfur iod., Tellerium, Thuya.
Otite rhumatismale : Lobelia cardinalis. Otites rebelles : Luesinum, Aristoloche.

OVARITE
Inflammation des ovaires, blénnorragie.
Bryone, Colibacillinum, Collinsonia, Colocynthis, Medorrhinum, Mercurius cor- rosivus, Mg. ph., Naja, Palladium (avant droit), Platina, Pyrogenium, Sédatif PC, Sepia, Thuya, Ustillago, Zinc.

OVULATION (hémorragie à l’)
Ambra gr., Bovista, Crotalus.

OXYURE
Ver nématode parasite de l’intestin de l’homme.
Allium capa, Artemisia absinthium, China, Hydratis, Sabadilla, Spigelia, Teucri- um + Vermifuge LHF.

OZÈNE
Atrophie des muqueuses nasales, accompagnée d’odeurs fétides.
Alumina, Asa foetida, Aurum, Baptisia, Elaps cor., Graphites, Hepar sulfur., Hydrastis, Hydrocotyle, lodoforme, Kali bich. et iod., Luesinum, Medorrhinum, Merc. corr., Phytolacca, Psorinum, Pulex, Silicea, Thuya, Cadmium.

Dr Claude Binet

 

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