Le septénaire du Capricorne
(63 à 69 ans)
Le temps est venu sur le plan professionnel de laisser la place aux autres. Rien ne sert de se cramponner à son bureau ou à sa fonction. Il y a encore beaucoup de choses à réaliser ailleurs. On peut cependant continuer à faire profiter de son expérience en participant à des conseils d’administration par exemple. Il faut rester positif. Si la santé est là, il faut se convaincre que nous ferons un joyeux centenaire. Ce septénaire a tendance à rechercher le silence car un appel intérieur nous fait prendre conscience d’une vie spirituelle. On éprouve le besoin de s’éloigner des tumultes de l’existence pour se retrouver au calme, souvent accompagné d’un livre en particulier qu’on n’a jamais eu le temps de lire. On a tendance à vouloir découvrir des livres sacrés porteurs d’inspiration métaphysique. La pleine conscience de notre disparition nous interroge sur ce qu’il peut y avoir après cette vie et la nécessité d’apprendre et de comprendre ces nouveaux domaines nous fait participer à des séminaires sur la théologie, nous pousse à une pratique méditative ou autre technique de réflexion comme le yoga par exemple.
En cas d’inversion, le goût du pouvoir sera présent, les com- plots permettant de garder sa place et le machiavélisme seront des armes redoutables. Le mot le plus souvent prononcé est : non ! Dire systématiquement non à toute idée, innovation, proposition. Dire oui serait un signe de faiblesse. Il est difficile de vieillir quand on a mal vécu. Mais lorsque la vie a été généreuse, la vieillesse est moins intolérable.
Organes et fonctions sensibles :
Les os, le cartilage, les articulations (principalement celles du genou), les dents, la peau, les cheveux.
Eric Wozniak
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