Halte aux idées reçues sur les assurances santé pour animaux



Force est de constater que l’animal est devenu un membre à part entière de très nombreuses familles françaises (près d’un foyer sur deux possède un animal de compagnie). Paradoxalement, moins de 4% d’entre eux disposent d’une assurance santé qui, en leur permettant un meilleur et plus large accès aux soins leur sauverait peut-être la vie !

Peu et mal connue en France, l’assurance santé animale peine à se débarrasser d’aprioris qui ont depuis longtemps disparus chez nos voisins européens (30 % d’assurés en au Royaume unis, 80 % en Suède)

1) Les assurances pour animaux ne sont pas rentables
La première année de vie d’un animal est pour beaucoup de propriétaires synonyme de dépenses : vaccins, vermifuges, identification, parfois stérilisation pour n’évoquer que les dépenses dites « de prévention ». A l’instar de leurs maîtres, les dépenses de santé augmentent avec l’âge et celles-ci peuvent atteindre pour certains animaux plusieurs milliers d’euros en cas de maladies chroniques par exemple (scanner, chimiothérapies, etc.). De la simple « indigestion » de Félix qui a mal digéré le foie gras du nouvel an, à la hernie discale de Médor en passant par la chirurgie orthopédique d’Oscar renversé par une voiture, les occasions d’être confronté aux factures de vétérinaire ne manquent pas, tout au long de la vie de chaque animal.

Certains propriétaires, faute de moyens financiers suffisants sont malheureusement contraints de faire euthanasier leur petit protégé alors que des solutions médicales existent. L’assurance santé animale, insuffisamment connue (66 % des propriétaires d’animaux ignorent son existence) est aujourd’hui le seul moyen efficace de réduire significativement l’impact des frais vétérinaires sur le budget de la famille et d’offrir à son animal la qualité de soins qu’il mérite.

Mal connue et régulièrement confondue avec nos « complémentaires santé » ou notre « sécu » humaine, l’assurance santé animale n’a pas pour vocation d’être rentable, pas plus qu’une assurance habitation ou une assurance voiture. En revanche, elle s’avère particulièrement précieuse lorsque l’aléa ou la maladie surviennent.

2) Une grande méconnaissance des offres existantes
La souscription à l’assurance santé animale n’étant pas obligatoire, peu de propriétaires d’animaux - voire de vétérinaires - la connaissent concrètement

Plusieurs types d’offres (dont le prix varie en fonction du degré de prise en charge souhaité) existent sur le marché français : de l’assurance « coup durs » qui ne rembourse que les frais vétérinaires consécutifs à des accidents ou à des maladies à des offres incluant la prise en charge des traitements antiparasitaires, chaque propriétaire devrait pouvoir trouver la solution qui convient le mieux à son budget et à son animal. L’établissement d’un devis préalablement à la souscription est un gage de sécurité pour le propriétaire et une manière fiable de s’assurer que la formule choisie est bien conforme à ses besoins.

3) Les assureurs n’inspirent pas confiance
Le monde de l’assurance n’a pas toujours bonne presse et le secteur de la santé animale n’y échappe malheureusement pas.

Parmi les acteurs qui sont reconnus pour leur éthique, leur professionnalisme et la qualité des services proposés, il convient de mettre en avant une entreprise unique en Europe qui connaît particulièrement bien les problèmes de santé des animaux et ceux des propriétaires, pour cause... elle a été créée et est gérée par des vétérinaires. Bulle Bleue est le nom sous lequel La Compagnie des Vétérinaire propose ses services d’assurance.

Une société atypique
Fondée il y a 20 ans (anciennement dénommée CIAF), La Compagnie des Vétérinaires s’est donnée pour mission d’offrir des services innovants et utiles aux vétérinaires, aux propriétaires et à leurs animaux. C’est, conforme à cette ambition, qu’elle s’est lancée il y a bientôt 5 ans sur le marché de l’assurance santé animale.
Installée à Villeneuve d’Ascq, Bulle Bleue emploie aujourd’hui plus de 30 personnes dont plusieurs sont directement issues du milieu vétérinaire (vétérinaires ou d’ex- assistantes vétérinaires) et gère un portefeuille de plus de 30 000 assurés.

 

Pour en savoir plus : www.bullebleue.fr